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x Allons-y, à contre coeur x PV x
Tom Wildens 12.09.06 21:17
Un sourire aux lèvres, vous m’avez bien comprit, Tom pénétra dans le château afin d’entamer sa troisième année. Un détail choquant ? Bavardant avec quelques Serpentards, il lui arrivait de sourire, de bonnes résolutions pour cette nouvelle année ? Ce terme est plutôt fort. Mais tout le monde change. Essayons de dégager toutes ces prises de têtes habituelles... mais à vrai dire Tom n’y songeait pas – encore. Mais il ne le voulait pas. Vu comment elles ont toutes fini, voire même pendant ces années. Arrivant alors dans le Hall avec quelques camarades, Tom s’avança lâchant le groupe des premières années, les nouveaux qui eux allaient se faire répartir. Pour, lui, continuer directement à la Grande Salle. Et comme l’année dernière, l’ennui profond lors des répartitions et du discours du dirlo.
Tout ceci fini, c'est-à-dire, les répartitions, le discours & baratin et, pour finir, le repas. Qui tout cela prenait un bon bout de temps. Et le repas, en principe, en prenait le moins, pour Tom. Bien que le repas de début d’année soit un vrai festin. Mais cela en restait une habitude. Enfin bref. Tout ça on le savait déjà... jusqu’à l’annonciation de...
- ... La réunion concernant les 3èmes années se fera à la salle sur demande.
Annoncèrent les préfets, mais tout cela n’était que sottises. Comme-ci, à peine arrivés, ils allaient parler du travail, du respect et tout le tralala qui va avec. Juste pour une petite fête sûrement. Donc, pas de Tom. Perdre son temps à rester debout près d’une fenêtre, ou encore, parler à d’autres amis, non. Ce n’était pas la peine. C’était du temps perdu...bien qu’aussi il ne voulait pas revoir toutes les têtes des années précédentes d’un coup. Gâcher une journée le premier jour, ça n’allait pas être possible. Quitte à être le pire des prétentieux et ironiser sur tout ce qui lui tombe sous la main, il se s’énerverait pas. Mais comme il n’irait pas tout était réglé. Par la suite, plus de renseignements leur ont été donné. C’était déjà le jour même et l’heure, c’était vers le soir quoi. Après le couvre-feu en plus. Et puis franchement, le jour même, il fallait vraiment être doué, ils venaient de se taper un trajet insupportable et terriblement long et ils voulaient tout de même pas qu’ils dansent et rigolent jusqu’à deux heures du matin quand même ? Cela serait se foutre du monde.
Une heure après, environ, Tom regagna la bibliothèque après avoir déposé, puis rangé ses affaires. Et le temps de revoir tout le monde, patati v’là qu’on te pose les questions les plus banales après tes vacances, un extrait : « T’as fait quoi de tes vacances ? ». Premièrement, Tom les a ignoré, faisant genre de ne pas les écouter, et puis que voulaient-ils que l’on réponde à ça ? Oui, donc cette bibliothèque, toujours la même, comme tout le château en fait. Et puis toujours la même personne gérant la bibliothèque, des Œillets. Teh... peste. Passant de longues minutes en cet endroit il finit alors par emprunter un livre – les habitudes ne s’oublient pas.
... Et l’heure de la réunion était enfin arrivée. Errant dans les couloirs en cette heure, n’ayant le moins du monde l’idée de se rendre à la salle sur demande, tout était calme, jusqu’au temps où il passa devant une porte, une porte de bureau, un bureau d’une ex-prof, une ex-prof peste, peste bibliothécaire, Camille des Œillets. Et quelle mouche l’a piqué de sortir à ce moment là ? Toujours le chic pour ses situations pareilles...
- Tom ? Qu’est-ce que tu fais ici à cette heure-ci ?
Bien évidemment, c’était toujours comme ça. Et puis il se voyait mal le lui sortir quelque chose de contrariant, se faire remarquer le premier jour, de mieux en mieux Tom...
- Euh... *ah !* et bien je me rends à la salle sur demande, la réunion pour les 3èmes années. Vous n’êtes pas au courant ?
- Si, mais ce n’est pas de ‘ce’ côté.
Faux sourire gêné, une main dans les cheveux, faisant volte-face, prenant un ton et un air innocent et confus... les habitudes revenaient à une vitesse incroyable.
- Ah, vous savez en deux mois ça s’oublie.
Sans attendre la moindre réponse de Camille, Tom s’empressa de reprendre le pas. Oublier Poudlard c’était franchement impossible, et puis ça faisait 2ans qu’il était à Poudlard... excuse bidon. Elle ne devait absolument pas croire quelque chose d’autre... surtout après une telle excuse et connaissant le caractère et le comportement – surtout – de Tom. Et puis la salle était à deux pas. Il n’avait pas le choix. Il savait que s’il n’y allait pas, ça allait barder pour lui. Arrivant face à la porte de la salle sur demande, il jeta un regard en coin à Camille pour voir si elle était toujours là... après réflexion, qu’elle soit là ou pas, il devait y allez, rien que pour faire bonne impression, cette fois... Tournant la poignée, la lassitude allait se trouver à son apogée.
Une fois la porte ouverte, Tom se força de sourire. Arriver avec une tête qui n’exprimer qu’une seule chose, vouloir partir, n’était pas la meilleure des choses à faire. Et Paf en plein dans l’entrée un Gryffondor par-ci, des cris par l’autre, un boucan infernal... l’enfer. C’est alors qu’il tenta d’allez dans un coin plus isolé, mais ce n’était pas la peine, les personnes étaient éparpillées quasiment un peu partout. Le Serpentard décida alors de s’asseoir, et de s’accouder à une table, avec un air démotivé il regardait les autres danser... qu’est-ce qu’il aurait aimé être seul dans son dortoir en train de bouquiner.
Tout ceci fini, c'est-à-dire, les répartitions, le discours & baratin et, pour finir, le repas. Qui tout cela prenait un bon bout de temps. Et le repas, en principe, en prenait le moins, pour Tom. Bien que le repas de début d’année soit un vrai festin. Mais cela en restait une habitude. Enfin bref. Tout ça on le savait déjà... jusqu’à l’annonciation de...
- ... La réunion concernant les 3èmes années se fera à la salle sur demande.
Annoncèrent les préfets, mais tout cela n’était que sottises. Comme-ci, à peine arrivés, ils allaient parler du travail, du respect et tout le tralala qui va avec. Juste pour une petite fête sûrement. Donc, pas de Tom. Perdre son temps à rester debout près d’une fenêtre, ou encore, parler à d’autres amis, non. Ce n’était pas la peine. C’était du temps perdu...bien qu’aussi il ne voulait pas revoir toutes les têtes des années précédentes d’un coup. Gâcher une journée le premier jour, ça n’allait pas être possible. Quitte à être le pire des prétentieux et ironiser sur tout ce qui lui tombe sous la main, il se s’énerverait pas. Mais comme il n’irait pas tout était réglé. Par la suite, plus de renseignements leur ont été donné. C’était déjà le jour même et l’heure, c’était vers le soir quoi. Après le couvre-feu en plus. Et puis franchement, le jour même, il fallait vraiment être doué, ils venaient de se taper un trajet insupportable et terriblement long et ils voulaient tout de même pas qu’ils dansent et rigolent jusqu’à deux heures du matin quand même ? Cela serait se foutre du monde.
Une heure après, environ, Tom regagna la bibliothèque après avoir déposé, puis rangé ses affaires. Et le temps de revoir tout le monde, patati v’là qu’on te pose les questions les plus banales après tes vacances, un extrait : « T’as fait quoi de tes vacances ? ». Premièrement, Tom les a ignoré, faisant genre de ne pas les écouter, et puis que voulaient-ils que l’on réponde à ça ? Oui, donc cette bibliothèque, toujours la même, comme tout le château en fait. Et puis toujours la même personne gérant la bibliothèque, des Œillets. Teh... peste. Passant de longues minutes en cet endroit il finit alors par emprunter un livre – les habitudes ne s’oublient pas.
... Et l’heure de la réunion était enfin arrivée. Errant dans les couloirs en cette heure, n’ayant le moins du monde l’idée de se rendre à la salle sur demande, tout était calme, jusqu’au temps où il passa devant une porte, une porte de bureau, un bureau d’une ex-prof, une ex-prof peste, peste bibliothécaire, Camille des Œillets. Et quelle mouche l’a piqué de sortir à ce moment là ? Toujours le chic pour ses situations pareilles...
- Tom ? Qu’est-ce que tu fais ici à cette heure-ci ?
Bien évidemment, c’était toujours comme ça. Et puis il se voyait mal le lui sortir quelque chose de contrariant, se faire remarquer le premier jour, de mieux en mieux Tom...
- Euh... *ah !* et bien je me rends à la salle sur demande, la réunion pour les 3èmes années. Vous n’êtes pas au courant ?
- Si, mais ce n’est pas de ‘ce’ côté.
Faux sourire gêné, une main dans les cheveux, faisant volte-face, prenant un ton et un air innocent et confus... les habitudes revenaient à une vitesse incroyable.
- Ah, vous savez en deux mois ça s’oublie.
Sans attendre la moindre réponse de Camille, Tom s’empressa de reprendre le pas. Oublier Poudlard c’était franchement impossible, et puis ça faisait 2ans qu’il était à Poudlard... excuse bidon. Elle ne devait absolument pas croire quelque chose d’autre... surtout après une telle excuse et connaissant le caractère et le comportement – surtout – de Tom. Et puis la salle était à deux pas. Il n’avait pas le choix. Il savait que s’il n’y allait pas, ça allait barder pour lui. Arrivant face à la porte de la salle sur demande, il jeta un regard en coin à Camille pour voir si elle était toujours là... après réflexion, qu’elle soit là ou pas, il devait y allez, rien que pour faire bonne impression, cette fois... Tournant la poignée, la lassitude allait se trouver à son apogée.
Une fois la porte ouverte, Tom se força de sourire. Arriver avec une tête qui n’exprimer qu’une seule chose, vouloir partir, n’était pas la meilleure des choses à faire. Et Paf en plein dans l’entrée un Gryffondor par-ci, des cris par l’autre, un boucan infernal... l’enfer. C’est alors qu’il tenta d’allez dans un coin plus isolé, mais ce n’était pas la peine, les personnes étaient éparpillées quasiment un peu partout. Le Serpentard décida alors de s’asseoir, et de s’accouder à une table, avec un air démotivé il regardait les autres danser... qu’est-ce qu’il aurait aimé être seul dans son dortoir en train de bouquiner.
Tom Wildens- [ A la fiche ♥ ]
- • Nombre d'écrits : 1803
• Caste : Brigade Inquisitoriale
• Baguette : Serpentard
• Commentaire d'Ombrage : Bizarre lui. Il se ramène, des fois, mais il dit jamais rien. N'empêche que Tomtom Wiwi, ça fait très longtemps, quand il avait un avatar d'un p'tit bonhomme assit sur les fesses, les genoux pliés vers le haut. J'ai une bonne mémoire. - Cry
Re: x Allons-y, à contre coeur x PV x
Angel Spinoza 12.09.06 23:32
/HJ\ Kikoo, c'est "Rion" ... Ze peux faire ce RP avec toi ? Ou alors c'est avec ta chirie ? ^^ /HJ\
Angel Spinoza- [ A la fiche ♥ ]
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Re: x Allons-y, à contre coeur x PV x
Tom Wildens 13.09.06 13:43
x J'avais répondu à ton mp ^^ Haaan les rumeurs qui circulent. Jvais éviter d'entreprendre une masse de sujet - déjà que je dois faire une fiche - mais à la fin de ce sujet si Tom reste et que Lys (roh ca va hein ^^) part tu pourras venir hein. ^^ (Surtout si tu lui sors c'que tu viens de dire, va être enchanté 
) x
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Re: x Allons-y, à contre coeur x PV x
Angel Spinoza 13.09.06 18:44
/HJ\ Ran ... faut quej'attende la fin du sujet ? Sniiiifouille ! J'aurai bien aimé le commencer maintenant, comme j'ai un peu de temps en ce moment ... /HJ\
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Re: x Allons-y, à contre coeur x PV x
Lys Lirimy 16.09.06 14:17
Il était 21h30. La fête pour les troisièmes années organisée par la bande des Gryffondors venaient de commencée il y avait sûrement une demi heure. Et Lys était toujours dans son lit. Comme tous ses moments de temps libres depuis que la rentrée était venue. A force de passer de nombreux cours ensemble, Gryffondors, Poufsouffle, Serdaigle et quelques Serpentards s’étaient liés d’amitié et avaient proposé l’année précédente d’organiser une fête pour la rentrée pour se mettre dans l’entrain. Lys avait bien entendu était très pour. Mais depuis son retour de vacances la jeune fille restait morose. Mélancolique. Dans sa chambre, sa pile de bouquins pas encore entamée. Ses camarades de chambre s’inquiétant pour elle. Elle ne prenait l’air que pour ses entraînements de Quidditch qui se passaient plutôt mal et pour les cours de botanique et de soins aux créatures magiques. Pierrick, Eterna et quelques privilégiés d’année inférieure, ami de Lys et invité à la soirée avaient clairement insisté pour que la jeune blonde et ex-préfête fasse une apparition à la fête. Ainsi, comme promis, ses camarades de chambre l’habillèrent de la tête au pied sans que Lys ne les aide, sans que Lys n’émette aucune protestation. La vie à Poudlard n’était plus aussi trépidante qu’avant et ses « vacances » l’avaient complètement changée. La Lys souriante et enjouée était quelque part dans un coin de sa tête et tout le chagrin emmagasiné jusque là sortait au jour d’aujourd’hui. Envoyer ses devoirs balader. Prendre les entraînements de Quidditch à la légère, avoir abandonné son poste de préfête qu’elle adorait tant… Tout ça n’était pas d’elle. Mais Lys n’était plus elle-même peut être. Le sentiment d’être un peu seule au monde et incomprise de tous plaçait une distance entre elle et ses amis. C’était ce sentiment qui créait la distance réelle. Pour elle, Lys était la seule à voir la vie telle qu’elle l’était vraiment. Compliquée ! C’était comme si elle avait pris trois ans en deux mois. L’été l’avait fait mûrir. Mais cela restait malheureusement invisible puisque aux yeux du monde sa poitrine, ses hanches et tout autres organes féminins étaient encore et toujours inexistant !
La jeune fille enfila une longue et étroite robe bleue nuit, découvrant ses épaules et son dos. Ses amies lui firent un rapide chignon au sommet de sa tête, enserrant la masse de cheveux blonds argentés dans un ruban bleu qui menaçait de craquer. Les jeunes filles tirèrent des mèches qu’elles firent tomber dans la nuque de la jeune Serdaigle et sur ses épaules. Elle cernèrent ses yeux de noir, lui maquillèrent la bouche et la parfumèrent légèrement avec de l’essence de vanille. Pour finir, Lys était méconnaissable depuis ses quinze premiers jours. Mais de toute manière, on avait beau avoir le corps, tant que l’esprit n’était pas lui heureux et bien, rien ne suivait trop. Cela faisait des lustres que Lys n’avait pas souris de bon cœur et elle eut l’impression quand une de ses amies lui demanda de sourire pour faire une photo à 5, que ses muscles faisaient la grève des sourires.
La jeune fille tenta de nouveau sa chance en prétendant :
- un mot de ventre
- un mot de tête
- une envie de vomir
- des vertiges
Elle tenta même les boîtes à flemme mais ses amies avaient vu le coup venir et c’est pour cela que la jeune fille se retrouva dans un couloir entre deux paires de bras la maintenant prisonnière pour éviter qu’elle ne s’échappe en cours de route. Lys ne savait pas trop pourquoi tout n’allait pas comme elle le voulait mais ce dont elle était sure c’est que le dernier jour qu’elle avait vu sa barrette libellule qu’elle portait toujours dans ses cheveux c’était dans le Poudlard Express avant de partir en vacances. Ce ne fut qu’une fois arrivée chez sa tante que la jeune fille avait remarqué la perte de ce bijou de famille. Et même si Lys s’efforcer de ne pas y croire, quelque part elle doutait juste que les deux événements soient liés. En attendant la jeune fille venait de pénétrer dans la salle sur demande accompagnée de ses amies de chambre.
Immédiatement Pierrick, Eterna, Emma, et d’autres vinrent saluer Lys et repartirent aussitôt à leurs occupations. Cette dernière resta plantée au milieu de la pièce dévisageant tout le monde et remarquant que quelques Serpentards étaient venus quand même comme les sœurs Cartlands ou Nélia qu’elle observa danser sur une musique un peu bizarre* passant en fond sonore à ce moment là. La jeune Serdaigle se dirigea lentement vers le buffet s’attrapa une bierraubeure et s’écroula sur un canapé en ne faisant que vaguement attention à la personne qui se trouvait à côté d’elle laissant une bonne place entre eux deux sur l’unique canapé de la pièce.
La jeune fille enfila une longue et étroite robe bleue nuit, découvrant ses épaules et son dos. Ses amies lui firent un rapide chignon au sommet de sa tête, enserrant la masse de cheveux blonds argentés dans un ruban bleu qui menaçait de craquer. Les jeunes filles tirèrent des mèches qu’elles firent tomber dans la nuque de la jeune Serdaigle et sur ses épaules. Elle cernèrent ses yeux de noir, lui maquillèrent la bouche et la parfumèrent légèrement avec de l’essence de vanille. Pour finir, Lys était méconnaissable depuis ses quinze premiers jours. Mais de toute manière, on avait beau avoir le corps, tant que l’esprit n’était pas lui heureux et bien, rien ne suivait trop. Cela faisait des lustres que Lys n’avait pas souris de bon cœur et elle eut l’impression quand une de ses amies lui demanda de sourire pour faire une photo à 5, que ses muscles faisaient la grève des sourires.
La jeune fille tenta de nouveau sa chance en prétendant :
- un mot de ventre
- un mot de tête
- une envie de vomir
- des vertiges
Elle tenta même les boîtes à flemme mais ses amies avaient vu le coup venir et c’est pour cela que la jeune fille se retrouva dans un couloir entre deux paires de bras la maintenant prisonnière pour éviter qu’elle ne s’échappe en cours de route. Lys ne savait pas trop pourquoi tout n’allait pas comme elle le voulait mais ce dont elle était sure c’est que le dernier jour qu’elle avait vu sa barrette libellule qu’elle portait toujours dans ses cheveux c’était dans le Poudlard Express avant de partir en vacances. Ce ne fut qu’une fois arrivée chez sa tante que la jeune fille avait remarqué la perte de ce bijou de famille. Et même si Lys s’efforcer de ne pas y croire, quelque part elle doutait juste que les deux événements soient liés. En attendant la jeune fille venait de pénétrer dans la salle sur demande accompagnée de ses amies de chambre.
Immédiatement Pierrick, Eterna, Emma, et d’autres vinrent saluer Lys et repartirent aussitôt à leurs occupations. Cette dernière resta plantée au milieu de la pièce dévisageant tout le monde et remarquant que quelques Serpentards étaient venus quand même comme les sœurs Cartlands ou Nélia qu’elle observa danser sur une musique un peu bizarre* passant en fond sonore à ce moment là. La jeune Serdaigle se dirigea lentement vers le buffet s’attrapa une bierraubeure et s’écroula sur un canapé en ne faisant que vaguement attention à la personne qui se trouvait à côté d’elle laissant une bonne place entre eux deux sur l’unique canapé de la pièce.
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