« Poudlard Interactif : Le Temps Libre. » | RPG
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My name is McFairth, Murthag McFairth

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My name is McFairth, Murthag McFairth Empty My name is McFairth, Murthag McFairth

Message  Invité 06.05.06 21:53

Bonjour à vous, qui devez lire ceci pour me répartir. Je m’appelle Murthag, Murthag McFairth. Et oui, Mcfairth … cette grande et longue lignée des McFairth. On vous dira tout le temps qu’il ne faut pas chercher un McFairth … ou il vous en coûtera. C’est de notoriété publique, et je compte sur vous pour rester avec cela à l’esprit quand vous me côtoierez ou me parlerez. Sinon … Bref, prenez garde, à ne pas trop me titiller, je risque de ne pas apprécier, et vous ne pas apprécier les retombées. Bien. Ceci étant dit ….

Apprenez à vous souvenir de mon apparence. Comment suis-je dites vous ? Et bien je suis de taille moyenne pour mon âge, jamais plus grand, ni plus petit, juste la bonne taille quoi. Pareil pour la corpulence, un McFairth n’est jamais gros, voyons, quelle horreur et quelle honte ce serait ! Mais pas maigre comme un clou non plus, non mais, vous imaginez la classe que j’aurais ? cela jurerait avec mon port princier naturel que me confère mon sang parfaitement pur ! Ma peau est d’une délicate couleur blanche, toujours très pâle même en été, je ne supporte pas avoir la peau d’une autre couleur, même si la plupart des gens vouent un culte sans pareil au soleil et aux peaux légèrement hâlées voire carrément bronzées … cela me donne envie de vomir. Une bouche fine, des lèvres carmin, souvent relevées par une petit sourire. Attendez je vous vois venir. Sympathique ? Jamais ! Sourire méprisant, pou ironique, ou plus simplement purement méchant. Faut pas rêver nan plus … On ne vous a jamais dit que le père Noël n’existait pas ? Tsss … Pour en revenir au sujet principal et pas à votre incommensurable naïveté, voire stupidité, il n’y a qu’une chose dans mon physique que j’échangerai volontiers : mes yeux. Deux petits yeux d’un vert profond et perçant. Avec mon signe particulier : un grain de beauté en dessous de l’œil gauche. Dit comme ça, ça fait envie pas vrai ? Sauf qu’ils sont bordés d’une rangée de longs cils, presque féminins, et qu’il suffit que je batte légèrement des yeux pour faire tomber toutes les filles dans un rayon de trois kilomètres. Sans rire … n’importe quelle fille en plus. Que celles à sang pur, je ne dirais pas, mais le pire ce sont les moldues qui me lancent des regards de pissons frits. L’horreur ! Dans ces cas là, je leur lance un regard méprisant de mon cru , et là elles tournent la tête. Faut pas pousser non plus ! Oui … le magnétisme de mon regard m’aide tout de même pas mal, j’ai appris à le rendre intimidant …une personne se perdant dans les abysses vertes émeraudes de mon regard n’en ressortent souvent pas indemnes … Enfin, je vous laisserai juger par vous même …

Passons à ce que l’on appelle communément mon caractère, ce que je nommerai : la nature des tréfonds de ma personnalité. La première chose qu’il faut savoir, c’est que le sang des McFairth qui coule dans mes veines ne va pas sans une certaine noblesse d’âme et certains principes. Tout d’abord, très important : LA PURETE DU SANG !!! Non mais ! Comment pouvez vous juste imaginer que les sorciers issus de familles moldues soient égaux avec nous autres … N’importe quoi ! Et les moldus purs, je n’en parle même pas. Cette sous race devrait être éliminée … ils ne servent à rien, c’est affligeant. De devoir les côtoyer dans ma future école me répugne à un point que l’on ne peut même pas imaginer … Ah, si seulement les fondateurs avaient écouté le seul d’entre eux qui était sensé … enfin passons. Je ne suis pas du genre à faire stupidement ami-ami avec le premier venu. La solitude ne me dérange aucunement … il vaut mieux se retrouver seul, donc avec une personne forcément bien plutôt qu’avec d’autres personnes, qui seront forcément inférieures … enfin à part certaines exceptions … Les valeurs d’honneur et de famille sont également très importante, mais défendre la veuve et l’orphelin, jouer aux héros, ça ne m’intéresse pas. Je trouve cela tellement pitoyable et pathétique de se prétendre défenseur de la justice … Qu’est ce que la justice, sinon une question d’appréciation ? Le plus fort l’emporte, et puis voilà, c’est plus une question de place et de relations de nos jours, et ce n’est pas plus mal comme ça, moi je vous le dis. Les forts dirigent, les faibles s’écrasent et se taisent. Point barre. Quoi ? Les études vous dites, Hum … oui, quand j’ai le temps, je m’y mets vraiment. Parce que sinon … Un McFairth fait ce qu’il veut quand il veut et où il veut. C’est tout. Une seule chose mérite l’attention selon moi : la magie noire. Mais elle n’est pas enseignée à Poudlard … ni même tolérée. Quel dommage. En plus on va devoir se farcir les cours de défense contre les forces du mal. Bonjour l’horreur et l’ennui. Je pense que je vais les sécher, quoique … un McFairth n’a pas à se faire réprimander comme un vulgaire pion. Donc je verrai bien. Que dire de plus ? Les efforts inutiles ne me conviennent point, je ne vois pas lieu de se fatiguer pour rien …Bon trêve de bavardages inutiles, vous aurez bien l’occasion de voir comment je suis durant les sept années que durera ma scolarité. Je ne veux pas vous gâcher entièrement la surprise …

Je vais maintenant vous raconter l’histoire de ma vie … l’histoire de ma vie … Là est un point qui me perturbe depuis quelques mois. Je vais vous raconter exactement ce qui s’est passé. C’était un vendredi soir, je m’en souviens très bien. Ma mère rentrait du ministère où elle a un poste au département des mystères (très important, très haut placé, et très bien payé). Il semblait qu’il y avait quelque chose qui la perturbait. Son beau visage, pâle et fin comme le mien, avec ses longs cheveux noirs si fins et si beaux … ma mère est magnifique. Je n’ai qu’elle, c’est quelque chose à savoir. Je la connais par cœur. Elle n’avait pas son air de d’habitude, cette classe, cette noblesse qui se dégageait de chacun de ses mouvements semblait s’être éteinte, ainsi que son profond regard vert dont j’ai hérité. Je la revois très bien passer la porte, dans un coup de vent de cette journée de mars, accompagnée d’un tourbillon de grêlons allant s’écraser sur le magnifique tapis recouvrant le sol de marbre du hall de notre manoir. J’étais assis dans les escaliers, un livre intitulé « les arcanes de la magie noire » dans la main, et j’ai tout de suite senti que quelque chose n’allait pas. Elle n’a pas envoyé bouler notre vieil elfe de maison sénile comme d’habitude, et se laisse tomber dans un fauteuil de cuir du salon. Je descends, refermant mon livre, et le prenant sous le bras, m’installant en face d’elle. Je me tais un moment, contemplant son visage ravagé par une tristesse sans nom, je ne l’avais jamais vue comme ça. Au bout d’un moment qui me parut une éternité, elle parla, d’une voix tremblante, rien à voir avec sa voix si belle, si enchanteresse :

« Murthag …
- Oui mère ?
-Il y a une chose dont je ne t’ai jamais parlé … une chose importante que j’ai toujours refusé d’aborder ..
-… »

Je savais exactement ce qu’elle voulait dire. Comme je l’ai déjà dit, ma mère était le seul membre de ma famille que je connaissais, excepté son père et sa mère. Mon père … voilà ce qu’elle voulait dire. Je frémis légèrement, mais feint la plus totale impassibilité, comme se doit un McFairth digne de ce nom.

« Aujourd’hui, pour la première fois depuis de nombreuses années, je l’ai revu. Au ministère. Il m’a dit qu’il venait pour affaires. Mais je me suis rendue compte qu’il fallait que tu saches …

Allons bon. Je contins mon impatience. Pendant toute mon enfance, ceci avait été le sujet tabou. Mes grands parents refusaient d’en parler, ma mère détournait la conversation à chaque fois, et je n’avais put trouver une seule photo de lui. Rien. C’était comme s’il n’avait jamais existé. Et il allait enfin savoir …

« C’était deux ans avant ta naissance, il y a déjà 13 ans de cela. Une grande réunion de famille chez les McFairth, dans le manoir de Westshire. Il y avait plein de monde, toute la lignée des McFairth. Personnellement, je n’avais pas trop envie de connaître les gens, tu sais comme je suis … comme toi.

Oui, comme lui. Il n’aimait pas vraiment rencontrer des gens, il ne se sentait vraiment bien que seul, ce qui n’était peut être pas un mal. Mais quand on est fils unique, c’était tout naturel. Même ses cousins il n’aimait pas les voir. Mais cela tombait bien, sa mère n’aimait pas vraiment aller voir ses parents. Qu’elle continue …

-Je m’étais donc assise dans un canapé, seule. Et puis, un de mes lointains oncles est arrivé, avec son fils, et me l’a présenté. Ce fut le coup de foudre. Il était tellement … enfin si … je ne saurais expliquer. Nous sommes tombés fous amoureux dès le premier regard et avons passé toute la journée à discuter. Notre premier baiser … le soir même …

Le regard de mère se fit lointain. Je ne l’avais jamais vue comme ça. Ses traits en étaient adoucis, mais je savais que je n’aimais pas la voir comme cela. Cela me rappelait quand j’avais quatre ans et que … mais je m’égare là, je raconterai cela plus tard.

-Deux mois après nous nous sommes mariés dans le plus grand secret, nous étions des cousins trop proches pour que notre union ne soit tolérée. Nous nous sommes installés dans un grand manoir, assez semblable à celui ci. Nous avons coulé des jours heureux. Je suis tombée enceinte, c’était merveilleux, notre bonheur n’aurait put être plus complet. Mais un jour, j’étais rentrée de mon travail que j’avais conservé, j’ai trouvé ton père et ma meilleure amie, enlacés sur le canapé.

Silence. Le regard de mère se fait douloureux, je sens qu’elle revit ce souvenir comme s’ils étaient en face d’elle. Je sens une boule dans mon estomac, que je reconnais sans peine : de la fureur, de la colère, de la haine envers cet homme, qu’il ne connaissait pas. Comment avait il put ? Osé ? Tromper ma mère ? Les larmes qui embuaient les magnifiques yeux de la femme en face de moi me donnaient envie de le détruire. Comment … ? Même si je me ferais couper en morceau plutôt que de l’avouer, une part de mon âme d’enfant venait de s’envoler avec cette révélation. Mon père, je me l’était imaginé comme un homme beau, grand, fort, sans reproche, un héros, un gentleman, enfin comme n’importe quel enfant n’ayant pas de père.. Et là, tout venait de s’écrouler. Ce n’était qu’un [censuré] qui avait trompé ma mère. J’avalai difficilement ma salive, me promettant de soit ne jamais le rencontrer soit, si cela se produisait, de lui réapprendre le code d’honneur des McFairth. J’attendis un moment que ma mère se calme, et elle reprit.

« J’ai immédiatement quitté le manoir, emportant mes affaires, et suis rentrée chez mes parents. Je ne l’ai pas revu jusqu’au jour où je suis allée à Sainte Mangouste, pour accoucher. Seulement, Murthag … tu n’étais pas seul … tu avais, je veux dire, tu AS une jumelle … Eryn.

Là, j’ai dut pâlir un bon coup. Je ne suis pas arrivé à encaisser le choc. QUOI ? J’avais une sœur jumelle ? Et je n’étais pas au courant ? mais c’était quoi ce bazardel ? Je suis resté interdit mes pensées s’embrouillant dans ma tête, j’entendis à peine les dernières parole de Mère.

« Il est venu, nous nous sommes violemment disputés, et pour finir, nous avons convenu, à contrecœur pour moi, crois-moi, qu’il prendrait ta sœur. Et que aucun de vous ne saurait rien … jusqu’à ce que je ne le revoie aujourd’hui. J’ai pensé que tu devais savoir .. Murthag ? ça va ? »

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Message  Invité 06.05.06 21:53

Non, non évidemment cela n’allait pas. Je me suis levé, tel un automate, laissant mon livre tomber par terre, gravit les escaliers quatre à quatre et je me suis enfermé dans ma chambre en claquant la porte. Là, je me suis adossé à la porte et suis descendu lentement, jusqu’à être assis par terre. Comment décrire ce que je ressentais ? j’étais perdu. Mon père était un enfoiré de première, il le haïssait de toutes ses forces alors qu’il y a encore quelques temps j’ aurais tout donné pour le rencontrer, le connaître, parler entre hommes McFairth … maintenant , j’ai plus envie de devenir parricide … on ne salit pas l’honneur d’un Mcfairth, encore moins celui de ma mère. Et j’avais une jumelle … là était un point troublant. Je me rappelai à ce moment que toute mon enfance, j’avais ressenti un manque, comme un vide. J’ai toujours pensé que c’était mon père qui me manquait, mais maintenant je savais … c’était elle, Eryn, ma sœur, mon double, ma moitié. C’était tellement troublant, tellement étrange. C’était comme si je l’avais toujours sut, et pourtant j’avais l’impression que le monde, ou du moins mon monde venait de s’écrouler. On nous avait séparé à la naissance… ils n’en avaient pas le droit. La violence de mes sentiments m’étonnaient, j’avais toujours été un solitaire. Mais peut être était ce normal après tout.

Je me suis donc calmé, mais ruminant toujours. Je suis devenu pire de jour en jour, toujours plus sombre, toujours plus froid, toujours plus maniaque, calculateur, désagréable. Une vrai horreur pour les autres. Moi, je ne vais pas me dire que ça me plaît, parce que je me pose des tas de questions, mais disons que le pouvoir que l’on exerce en étant très désagréable et autoritaire est très intéressant. Je n’ai cependant pas cherché à retrouver ma sœur. Pourquoi ? parce que … j’ai peur. Oui, ne riez pas, un McFairth peut avoir peur quand c’est justifié. Et bien là ça l’est. Je ne sais absolument rien d’elle. Et si elle me détestait ? Si c’était une Cracmole, ou une maie des moldus ? Si elle ne me connaissait pas ou ne voulait pas me connaître ? Une angoisse horrible. Mais je n’en dirait jamais rien à personne, enfin à part à vous, mais je fais une exception à la règle. Tout cela me fait penser que vous ne savez rien de mon enfance, j’ai parlé de mon histoire actuelle… bon, ok, je m’y mets.

Depuis tout petit donc, j’ai surtout été chez mes grands parents ma mère travaillant beaucoup. J’étais heureux comme ça cependant, ce n’était pas plus mal. Mon grand père m’apprenait toutes les valeurs des Mcfairth, ma grand mère me brutalisait pour la forme mais m’adorait en réalité. Ils attendaient tous une chose, tout comme moi quand je fus en âge de comprendre : ma première expérience magique. Elle vint à l’âge de sept ans je sais, c’est tard, mais on dit que les arbres tardifs donnent les meilleurs fruits, non ?. J’étais seul à la maison, attendant que ma mère rentre. Et quand la porte s’ouvrit, j’eus la surprise de la voir entrer … avec un homme qui la tenait par les épaules. Elle me la présenté comme un ami de travail, mais croyez moi, je ne suis pas stupide. Et cet homme ne me plaisait pas. Nous avons mangé tous ensemble, lui essayant stupidement de faire ami ami avec moi ! Tsss … il fallait que je me débarrasse de lui, et vite. L’occasion se présenta sous la forme de la baguette magique de ma mère, qu’elle avait laissée sur la grande table. Ils étaient tous les deux dans le salon, aussi, je m’en suis saisit. Je me suis avancé prudemment, et je l’ai vu qui allait embrasser ma mère. Ni une, ni deux, j’ai vu rouge, et un sort est sorti tout seul de ma bouche :

« SECTUMSEMPRA ! »

Le pauvre gars fut projeté loin de ma mère, sur le mur du salon, mais avec ma puissance magique de sept ans, je suis juste arrivé à lui ouvrir plusieurs plaies partout sur le corps, mais rien de bien sérieux. Ma mère m’a regardé horrifiée. Elle m’a envoyé dans ma chambre en me réprimandant sévèrement. Mais je n’ai plus jamais entendu parler de cet homme.

Et à partir de ce jour, mon grand père, qui m’a lui félicité en disant que ce premier sort m’ouvrait une voie royale, m’a appris pas mal de ce qu’il savait, des sorts simples, bien sûr, mais aussi, la magie la plus noble qu’il soit, comme il disait, la magie noire. J’ai sut que mon premier sort en était un, cela m’a fait plaisir. On allait entendre parler de moi …Et je vous le garantis, on entendra parler de moi durant ma scolarité. Même si je dois (théoriquement du moins) abandonner la magie noire pendant ce temps … vous verrez.

J’étais justement en pleine leçon avec mon grand père (l’exercice du jour consistait à imposer ma volonté à une souris) quand une chouette magnifique, au plumage blanc de neige frappa au carreau. Il eut un sourire fier (mon grand père), et ouvrit la fenêtre. Sans grande surprise, je décachetai la lettre. Poudlard …j’y allais. Il me félicita, même si je voyais dans ses yeux qu’il ambitionnait Durmstrang pour moi. Mais, m’a t il dit, toute ta famille est passée là bas, à Serpentard. Fais nous honneur … sans problème grand père, ne t’inquiètes pas , les McFairth sont de retour à Poudlard … cela va faire mal ! En parlant de McFairth … il serait logique qu’Eryn y soit aussi … ma jumelle… Ai je vraiment envie de la rencontrer ? je ne sais pas … Enfin advienne que pourra. On verra bien. J’ai sept ans devant moi.

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Message  Invité 06.05.06 23:04

Bienvenue (^^).

Fiche très originale...

SERPENTARD

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