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- Alice in Wonderland (libre)
Invité 20.01.06 21:44
Alice frissonna, elle remonta le col de son manteau et laissa échapper un petit nuage blanc de sa bouche. Il devait être dans les alentours de 19 heures et la Serpentarde était seule, devant le lac gelé. Elle était assise en tailleur, ses longs cheveux blonds ‘rangés’ d’un seul côtés de sa tête. Une ombre noire se dessina dans le ciel, ‘la chose’ approcha a vive allure de la jeune fille et celle-ci releva la tête … Ce n’était pas un sentiment de peur qui s’était dessiné sur les lèvres d’Alice, mais bel et bien un sourire. L’ombre noire n’était personne d’autre que son corbeau : Myrage. Celui-ci se posa sur la jambe de sa maîtresse et la Serpentarde laissa éclater un petit rire joyeux. D’une main tremblante, Alice caressa le dos de son corbeau, avec délicatesse et douceur, celui-ci laissa échapper un croassement et le rire de la Serpentarde se répéta …
-Chuuuuut ! Chuchota-elle avec amusement en posant un doigt sur sa bouche. Myrage ! Mon beau et doux Myrage … Heureusement que je n’ai pas oublié mon calepin ! Je voulais te dessiner aujourd’hui. Tu dois en avoir marre que je te dessine … Mais il n’y a que toi qui m’intéresses.
Alice baissa la tête, alors c’étai donc vrai … Il y avait seulement Myrage qui l’intéressé. La Serpentarde s’était entendue pourtant ! Pourquoi ne voulait elle pas croire en la vérité ? Parce qu’elle n’avait tout simplement pas d’amis à qui offrir amour et protection ? Possible … Seulement, la jeune fille n’écouta pas sa conscience cette fois si, pendant quelques secondes ...
- Il faudrait peut-être que j’apprenne à me faire des amis. Le corbeau lâcha un deuxième croassement, mais cette fois si, Alice ne manifesta aucun signe de joie, Tu es et tu seras a jamais mon meilleur ami. Seulement … Tu ne parles pas, tu penses simplement. Et depuis que je suis petite j’essaye d’imaginer ce que tu penses, mais … La Serpentarde prit une pause, j’ai grandi, je dois me sortir du pays des merveilles, enfin … Du pays des cauchemars plutôt.
Alice fit un maigre sourire à son ami et celui-ci prit son envol, il ne partit pas très loin, il se percha sur une branche d’un arbre et la jeune fille le suivit du regard.
-Pourquoi fuis tu ? Alice se leva et se rapprocha de l’arbre en question, me prendrais-tu pour un renard mon cher maître corbeau ? La Serpentarde sourit et fit une révérence devant le tronc de l’arbre,la tête levée, les yeux fixer sur son ami, Maître corbeau sur son arbre perché, tenait en son bec un fromage … La jeune fille se mit à rire mais drôlement, elle s’arrêta d’un coup. Elle se laissa tomber sur l’herbe fraîche et baissa la tête, Je ne sais pas si tu m’entends, poursuivit elle en murmurant, mais il faut que je grandisse ! Alice au pays des merveilles me suffit ! Je ne veux pas devenir Peter Pan ! Je voudrais être une gamine comme les autres … Mais, je ne suis pas comme les autres.
La petite tête blonde bascula totalement sur l’herbe et s’allongea sur le dos, elle cligna deux ou trois fois ses paupières, puis les ferma complètement. C’est a ce moment précis qu’elle se mit a siffler un petit air … Celui-ci ressemblé étrangement a la jolie mélodie : « Un joyeux-non anniversaire … À qui ? À vous ! … » Enfermée a jamais dans un conte de fées la gamine Alice … À jamais …
-Chuuuuut ! Chuchota-elle avec amusement en posant un doigt sur sa bouche. Myrage ! Mon beau et doux Myrage … Heureusement que je n’ai pas oublié mon calepin ! Je voulais te dessiner aujourd’hui. Tu dois en avoir marre que je te dessine … Mais il n’y a que toi qui m’intéresses.
Alice baissa la tête, alors c’étai donc vrai … Il y avait seulement Myrage qui l’intéressé. La Serpentarde s’était entendue pourtant ! Pourquoi ne voulait elle pas croire en la vérité ? Parce qu’elle n’avait tout simplement pas d’amis à qui offrir amour et protection ? Possible … Seulement, la jeune fille n’écouta pas sa conscience cette fois si, pendant quelques secondes ...
- Il faudrait peut-être que j’apprenne à me faire des amis. Le corbeau lâcha un deuxième croassement, mais cette fois si, Alice ne manifesta aucun signe de joie, Tu es et tu seras a jamais mon meilleur ami. Seulement … Tu ne parles pas, tu penses simplement. Et depuis que je suis petite j’essaye d’imaginer ce que tu penses, mais … La Serpentarde prit une pause, j’ai grandi, je dois me sortir du pays des merveilles, enfin … Du pays des cauchemars plutôt.
Alice fit un maigre sourire à son ami et celui-ci prit son envol, il ne partit pas très loin, il se percha sur une branche d’un arbre et la jeune fille le suivit du regard.
-Pourquoi fuis tu ? Alice se leva et se rapprocha de l’arbre en question, me prendrais-tu pour un renard mon cher maître corbeau ? La Serpentarde sourit et fit une révérence devant le tronc de l’arbre,la tête levée, les yeux fixer sur son ami, Maître corbeau sur son arbre perché, tenait en son bec un fromage … La jeune fille se mit à rire mais drôlement, elle s’arrêta d’un coup. Elle se laissa tomber sur l’herbe fraîche et baissa la tête, Je ne sais pas si tu m’entends, poursuivit elle en murmurant, mais il faut que je grandisse ! Alice au pays des merveilles me suffit ! Je ne veux pas devenir Peter Pan ! Je voudrais être une gamine comme les autres … Mais, je ne suis pas comme les autres.
La petite tête blonde bascula totalement sur l’herbe et s’allongea sur le dos, elle cligna deux ou trois fois ses paupières, puis les ferma complètement. C’est a ce moment précis qu’elle se mit a siffler un petit air … Celui-ci ressemblé étrangement a la jolie mélodie : « Un joyeux-non anniversaire … À qui ? À vous ! … » Enfermée a jamais dans un conte de fées la gamine Alice … À jamais …
Invité- Invité
Re: - Alice in Wonderland (libre)
Kate Warren 21.01.06 0:27
Maman..maman...maman....!!!!!!!! Ce mot résonnait dans les esprits d'un jeune fille brune, aux yeux gris-bleus pas tranquilles, à une jeune fille tourmentée, sur un lit mal rangé.....Maman...
Une larme coula malgré elle sur sa joue, elle froissa la lettre abîmée, qu'elle relisait pour la énième fois....Elle avait apprit cette nouvelle, il environ un mois...le 3 décembre...... Sa mère, est décédée, d'une maladie douteuse. Kate avait été élevé par sa douce grand-mère, qu'elle appelait par son prénom, Jilian. Sa "mère" l'a abandonné chez celle-ci il y a bien des années, quand sa fille était encore inconsciente qu'elle avait une mère, qui ne valait même pas la peine de porter ce nom....Et pourtant, elle lui manquait...Non c'était l'affection maternelle qui lui manquait....Pas sa mère. Pourtant, c'est Jilian qui lui avait donné l'amour d'une mère, mais, même si Kate la considérait comme sa mère, elle savait, qu'au fond d'elle, que ce n'était pas vraiment la femme qui la porter dans son ventre pendant neuf mois...
Un sanglot....La jeune fille essuya rageusement les larmes de tristesse qui roulaient avec délicatesse sur ses joues pâles. La dortoir était vide à cette heure-ci. Elle se leva dans un grinçement, et s'empara de son inséparable sac, elle tenait toujours dans sa main, le bout de parchemin froissé, qui tenait les quelques mots qui avaient valu des litres de larmes silencieux et discrets. Elle dégringola les escaliers du dortoirs en manquant de se casser la figure: son pied glissa dans l'intervalle de deux marches, il se tordit légèrement, elle se rattrapa à la rampe au dernier moment, et arriva à se stabiliser, de son mieux. Elle eu un soupir de soulagement.
Elle traversa à grand pas la salle commune, n'adressant de regard à personne, ni parole, ni sourire. Elle voulait réfléchir seule. Ou avec une amie. Mais, le peu de gens qu'elle avait apprécié disparaissaient....Ses pas résonnaient dans les couloirs sombres obscurs et déserts des cachots. Kate erra dedans pendant longtemps, très longtemps. Elle se sentait chaque fois de plus en plus mal. La plus grande partie de son chagrin qu'elle avait arrivé à comprimer, refesait surface...Cette histoire lui faisait penser à sa vie peu banale, à sa vie triste. Au décès de son père qu'elle n'a jamais connut.....Elle ne pouvait pas pleurer à Poudlard. Elle l'avait déjà fait, et le regrettais encore.
Elle se trouvait dans un couloir noir et déserts. Elle se pinça les lèvres forts, pour se retenir. Rien à faire, des larmes coulaient sans s'arrêter le long de ses joues, prenant un trajectoire anbigue. Une larme salée, vint se déposer sur ses lèvres. Elle avait l'impression qu'elle allait déverser tout l'eau que son corps contenait.....Elle adossa son dos contre un mur froid. Elle tomba le long de ce mur. Elle était parcourue de tremblements. Sa tête lui tournait. Ses mains devenaient moites, elles bougeaient, comme si elles essayaient de saisir quelque chose d'invisible, elle se laissa pleurer, étouffant ses sanglots....
Combien de temps, avait-elle pleurer? Aucune idée. A présent, elle se sentait mieux, comme si les larmes qu'elle avait versés avait emmener la plus grande partie du chagrin. Quand on apprend le décès de quelqu'un que l'on connaît. On est triste. Normal. Certaine personne se mette à pleurer sur le coup, d'autres intériorise toujours. Mais, un moment ou un autre, il faut extérorisé. On peut le faire, le soir, quand on est sur que personne n'est là. Mais, il faut, pleurer, sinon on se ment à soi-même. C'est ce que venait de comprendre Kate, en essuyant ses dernières larmes et relever la tête, comme si ne rien n'était.
Elle se releva doucement. Ses jambes flageolaient. Elle s'agrippa au mur. Elle avait l'impression d'avoir parcourru une grande disctance en courant. Elle avait froid. Elle s'arrangea vite sa coiffure, en se demêlant à l'aide de ses doigts fins, et s'épousseta sa robe. Elle ne voulait pas que quelqu'un se rende compte qu'elle venait de pleurer.
Enfin, elle eu un frisson de joie, entendant l'habituel tintamarre des élèves parcourant le hall. En entendant ce bruit familier,qui résonnait plus fort que les autres fois, elle avait l'impression qu'elle n'avait jamais pleuré, ou plutôt que même si sa mère était décédée, même si Kate venait de pleurer à cause de ça, après des jours de chagrin gardé à l'intérieur d'elle même, la vie reprenait son cours habituel. Rien n'arrêtait le temps....
Elle parcourrut le hall rapidement et sortit dans le parc illuminés. Des élèves s'y trouvaient, heureux, souriants, en train de lire ou d'écrire...Une silhouette attira le regard de Kate...Elle se dirigea vers elle à pas lent..C'était bien Alice, allongée sur l'herbe. Bien que Kate l'ai vu la nuit, elle la reconnaitrait entre mille! Elle se dirigea vers elle doucement, légèrement. C'était bien la fille qu'elle avait rencontrée, durant une belle nuit étoilée, en compagnie de Poufouffle qui n'on pas dût apprécier de s'aventuer dans le parc cette nuit-là^^ Elle s'assit à côté d'elle, oubliant sa mère et tout le monde. Elle considérait Alice comme une amie. Elle se décida enfin à lui parler:
"Salut Alice....."
Une larme coula malgré elle sur sa joue, elle froissa la lettre abîmée, qu'elle relisait pour la énième fois....Elle avait apprit cette nouvelle, il environ un mois...le 3 décembre...... Sa mère, est décédée, d'une maladie douteuse. Kate avait été élevé par sa douce grand-mère, qu'elle appelait par son prénom, Jilian. Sa "mère" l'a abandonné chez celle-ci il y a bien des années, quand sa fille était encore inconsciente qu'elle avait une mère, qui ne valait même pas la peine de porter ce nom....Et pourtant, elle lui manquait...Non c'était l'affection maternelle qui lui manquait....Pas sa mère. Pourtant, c'est Jilian qui lui avait donné l'amour d'une mère, mais, même si Kate la considérait comme sa mère, elle savait, qu'au fond d'elle, que ce n'était pas vraiment la femme qui la porter dans son ventre pendant neuf mois...
Un sanglot....La jeune fille essuya rageusement les larmes de tristesse qui roulaient avec délicatesse sur ses joues pâles. La dortoir était vide à cette heure-ci. Elle se leva dans un grinçement, et s'empara de son inséparable sac, elle tenait toujours dans sa main, le bout de parchemin froissé, qui tenait les quelques mots qui avaient valu des litres de larmes silencieux et discrets. Elle dégringola les escaliers du dortoirs en manquant de se casser la figure: son pied glissa dans l'intervalle de deux marches, il se tordit légèrement, elle se rattrapa à la rampe au dernier moment, et arriva à se stabiliser, de son mieux. Elle eu un soupir de soulagement.
Elle traversa à grand pas la salle commune, n'adressant de regard à personne, ni parole, ni sourire. Elle voulait réfléchir seule. Ou avec une amie. Mais, le peu de gens qu'elle avait apprécié disparaissaient....Ses pas résonnaient dans les couloirs sombres obscurs et déserts des cachots. Kate erra dedans pendant longtemps, très longtemps. Elle se sentait chaque fois de plus en plus mal. La plus grande partie de son chagrin qu'elle avait arrivé à comprimer, refesait surface...Cette histoire lui faisait penser à sa vie peu banale, à sa vie triste. Au décès de son père qu'elle n'a jamais connut.....Elle ne pouvait pas pleurer à Poudlard. Elle l'avait déjà fait, et le regrettais encore.
Elle se trouvait dans un couloir noir et déserts. Elle se pinça les lèvres forts, pour se retenir. Rien à faire, des larmes coulaient sans s'arrêter le long de ses joues, prenant un trajectoire anbigue. Une larme salée, vint se déposer sur ses lèvres. Elle avait l'impression qu'elle allait déverser tout l'eau que son corps contenait.....Elle adossa son dos contre un mur froid. Elle tomba le long de ce mur. Elle était parcourue de tremblements. Sa tête lui tournait. Ses mains devenaient moites, elles bougeaient, comme si elles essayaient de saisir quelque chose d'invisible, elle se laissa pleurer, étouffant ses sanglots....
Combien de temps, avait-elle pleurer? Aucune idée. A présent, elle se sentait mieux, comme si les larmes qu'elle avait versés avait emmener la plus grande partie du chagrin. Quand on apprend le décès de quelqu'un que l'on connaît. On est triste. Normal. Certaine personne se mette à pleurer sur le coup, d'autres intériorise toujours. Mais, un moment ou un autre, il faut extérorisé. On peut le faire, le soir, quand on est sur que personne n'est là. Mais, il faut, pleurer, sinon on se ment à soi-même. C'est ce que venait de comprendre Kate, en essuyant ses dernières larmes et relever la tête, comme si ne rien n'était.
Elle se releva doucement. Ses jambes flageolaient. Elle s'agrippa au mur. Elle avait l'impression d'avoir parcourru une grande disctance en courant. Elle avait froid. Elle s'arrangea vite sa coiffure, en se demêlant à l'aide de ses doigts fins, et s'épousseta sa robe. Elle ne voulait pas que quelqu'un se rende compte qu'elle venait de pleurer.
Enfin, elle eu un frisson de joie, entendant l'habituel tintamarre des élèves parcourant le hall. En entendant ce bruit familier,qui résonnait plus fort que les autres fois, elle avait l'impression qu'elle n'avait jamais pleuré, ou plutôt que même si sa mère était décédée, même si Kate venait de pleurer à cause de ça, après des jours de chagrin gardé à l'intérieur d'elle même, la vie reprenait son cours habituel. Rien n'arrêtait le temps....
Elle parcourrut le hall rapidement et sortit dans le parc illuminés. Des élèves s'y trouvaient, heureux, souriants, en train de lire ou d'écrire...Une silhouette attira le regard de Kate...Elle se dirigea vers elle à pas lent..C'était bien Alice, allongée sur l'herbe. Bien que Kate l'ai vu la nuit, elle la reconnaitrait entre mille! Elle se dirigea vers elle doucement, légèrement. C'était bien la fille qu'elle avait rencontrée, durant une belle nuit étoilée, en compagnie de Poufouffle qui n'on pas dût apprécier de s'aventuer dans le parc cette nuit-là^^ Elle s'assit à côté d'elle, oubliant sa mère et tout le monde. Elle considérait Alice comme une amie. Elle se décida enfin à lui parler:
"Salut Alice....."
Kate Warren- [ A la fiche ♥ ]
- • Nombre d'écrits : 513
• Caste : Brigade Inquisitoriale
• Baguette : Serpentard
Re: - Alice in Wonderland (libre)
Invité 23.01.06 21:57
Myrage lâcha un dernier croassement et Alice arrêta de siffler, elle centra son regard sur le corbeau et lui tira la langue avec amusement. Le corbeau l’a snoba un moment jusqu'à-ce que la Serpentarde lui face des grimaces (^^). Myrage resta inexpressif et regarda sa maîtresse avec consternation. Celle-ci se releva et lui tira la langue suivie d’un petit clin d’œil … Une vraie gamine cette jeunette …
- Baaaaaaaaaaaah fais pas ton malin euh ! Déclara Alice avec humour. Si on peu plus rigoler … Tu mourras vieil homme. Continua la jeune fille en se grattant la tête … Moi je ne veux pas grandir, enfaîte je cois bien que Peter Pan me correspond … Je saiiiiiiis ! Je suis un croisement de Peter et Alice ! La Serpentarde se mit à rire et s’écroula une nouvelle fois sur l’herbe. Je suis folle … Murmura elle. La gamine se mit à arracher quelques brindilles d’herbes en chantonnant … Rares étaient les personnes qui l’a connaissait ainsi. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres, la solitude était son passe temps favoris (après le dessin et le violon …) D’ailleurs en parlant de violon, Alice secoua ses doigts, Aaaarg ! Il faut que je joue !!! Il le faut ! Dit la Serpentarde toujours en murmurant … Myrage ! Va chercher mon violon ! Continua elle en plaisantant et a haute voix … C’est vrai, tu n’es pas un chien. Tu te rends compte Myrage … Papa ne veut pas que je devienne musicienne, pourquoi ? « Parce que ce n’ait pas digne de la famille Greentears » poursuivit la petite tête blonde en imitant son père … Pfff … Quel imbécile.
Alice aurait voulu se relever et partir chercher en vitesse son instrument mais elle aperçu une ombre au loin. Une silhouette qui lui disait quelque chose … Elle fronça les sourcils et regarda l’ombre s’approchée, très intriguée. Quand la voix de la silhouette parvint jusqu'à ses oreilles, un grand sourire orna son visage : Kate ! Kate Warren ! La Serpentarde qu’elle avait rencontrée un soir au lac. La première personne qu’elle avait frequentée a Poudlard ! C’était très symbolique pour Alice. Sans attendre une seconde de plus, la Serpentarde bondit (avec douceur ^^) sur son amie et l’enlaça.
- Kate ! Quel plaisir de te revoir !
- Baaaaaaaaaaaah fais pas ton malin euh ! Déclara Alice avec humour. Si on peu plus rigoler … Tu mourras vieil homme. Continua la jeune fille en se grattant la tête … Moi je ne veux pas grandir, enfaîte je cois bien que Peter Pan me correspond … Je saiiiiiiis ! Je suis un croisement de Peter et Alice ! La Serpentarde se mit à rire et s’écroula une nouvelle fois sur l’herbe. Je suis folle … Murmura elle. La gamine se mit à arracher quelques brindilles d’herbes en chantonnant … Rares étaient les personnes qui l’a connaissait ainsi. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres, la solitude était son passe temps favoris (après le dessin et le violon …) D’ailleurs en parlant de violon, Alice secoua ses doigts, Aaaarg ! Il faut que je joue !!! Il le faut ! Dit la Serpentarde toujours en murmurant … Myrage ! Va chercher mon violon ! Continua elle en plaisantant et a haute voix … C’est vrai, tu n’es pas un chien. Tu te rends compte Myrage … Papa ne veut pas que je devienne musicienne, pourquoi ? « Parce que ce n’ait pas digne de la famille Greentears » poursuivit la petite tête blonde en imitant son père … Pfff … Quel imbécile.
Alice aurait voulu se relever et partir chercher en vitesse son instrument mais elle aperçu une ombre au loin. Une silhouette qui lui disait quelque chose … Elle fronça les sourcils et regarda l’ombre s’approchée, très intriguée. Quand la voix de la silhouette parvint jusqu'à ses oreilles, un grand sourire orna son visage : Kate ! Kate Warren ! La Serpentarde qu’elle avait rencontrée un soir au lac. La première personne qu’elle avait frequentée a Poudlard ! C’était très symbolique pour Alice. Sans attendre une seconde de plus, la Serpentarde bondit (avec douceur ^^) sur son amie et l’enlaça.
- Kate ! Quel plaisir de te revoir !
Invité- Invité
Re: - Alice in Wonderland (libre)
Kate Warren 23.01.06 22:16
Kate s'était bien aperçues, que très peu, que Alice semblait parler à quelqu'un...Mais aucun être humain se trouvait à l'horizon, elle commençait à s'inquiéter pour son amie, quand, soudain, elle vit la forme noir, et l'identifia. C'était un majesteux corbeau..Il devait être l'animal de compagnie de son amie.
Kate aimait les animaux. C'étaient les seuls êtres au monde qui n'avait pas peur d'elle, les seules personnes qui comprenaient qu'elle ne leur voulait aucun mal, les seuls personne qui ne se moquaient pas d'elles....Kate avait toujours vécu avec ses amis, les animaux. Elle se moquait bien des remarques stupides qu'on lui faisait, quand les enfants la voyait s'enfonçer dans le forêt, quand elle allait rejoindre les bêtes. Cependant, depuis son entrée à Poudlard, elle s'était trouver des amies....
Ce fut donc avec un sourire, qu'elle imita Alice et l'enlaça. Alice était aussi blonde que Kate était brune. La Serpentarde se détacha de l'etreinte et s'approcha du corbeau avec extrême douceur. L'animal était impressionant, et presque intimidant. Kate lui sourit gentiment, mais ne s'approcha pas plus. Elle se tourna vers Alice et répondit:
"Moi aussi ça me fait vraiment plaisir de te revoir..."
C'était vrai. Kate n'avait pas le contact facile, mais elle savait qu'elle s'était trouvée une vraie amie. Elle n'aurait pas sût expliquer pourquoi. Elle le savait.Ca suffisait.
Kate aimait les animaux. C'étaient les seuls êtres au monde qui n'avait pas peur d'elle, les seules personnes qui comprenaient qu'elle ne leur voulait aucun mal, les seuls personne qui ne se moquaient pas d'elles....Kate avait toujours vécu avec ses amis, les animaux. Elle se moquait bien des remarques stupides qu'on lui faisait, quand les enfants la voyait s'enfonçer dans le forêt, quand elle allait rejoindre les bêtes. Cependant, depuis son entrée à Poudlard, elle s'était trouver des amies....
Ce fut donc avec un sourire, qu'elle imita Alice et l'enlaça. Alice était aussi blonde que Kate était brune. La Serpentarde se détacha de l'etreinte et s'approcha du corbeau avec extrême douceur. L'animal était impressionant, et presque intimidant. Kate lui sourit gentiment, mais ne s'approcha pas plus. Elle se tourna vers Alice et répondit:
"Moi aussi ça me fait vraiment plaisir de te revoir..."
C'était vrai. Kate n'avait pas le contact facile, mais elle savait qu'elle s'était trouvée une vraie amie. Elle n'aurait pas sût expliquer pourquoi. Elle le savait.Ca suffisait.
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