Aaron et Gwendolyn [PRIVE, ne pas polluer!]

* Une fois de plus, Gwen avait aperçu un nouveau et elle avait eu envie de lui donner rendez-vous. Aussi, elle s'était de nouveau assise sur un banc, sortant, comme à l'accoutumé, son cahier et son styo plume moldu. Elle grifonnait en attendant que le nouveau arrive. Elle espérait qu'il ait bien reçu le hibou qu'elle lui avait envoyé. *
* "Je suis trop pas normale! Il faut toujours que je fasse connaissance avec les nouveaux. Oui mais après tout, il sera peut-être dans ma maison alors, on ne sait jamais. On peut devenir amis." *

*A la plus grande surprise d'Aaron, un hibou lui avait porté un message lui donnant rendez vous pas le parc, signé par une certaine Gwendolyn Ardwick. Bien qu'il eut pris le temps d'y réfléchir, ce nom ne lui disait rien. Après un mompent d'hésitation, il avait décidé qu'il serait malpoli de ne pas y aller.
*D'un pas lent, prenant le temps d'observer les alentours pour découvrir le parc de Poulard dont il ne connaissait rien, Aaron se rendit au lieu indiqué par la missive. Il trouva celle qu'il supposa être Gwendolyn Ardwick sur un banc, visibleemn en train de prendre des notes des notes à l'aide d'un outil étrange. Aaron s'éclaircit la gorge pour attirer son attention.*

Mademoiselle Ardwick, je présume ?

Mizu passait et vit Gwendy avec un nouveau
Coucou Gwendy toujours avec les nouveaux a ce que je vois
se tourna vers le nouveau et lui fit un joli sourire
Salut toi
et elle passa son chemin sans vraiment attendre une reponse

hj : si jamais cetait privé jtien a m en excuser Gwendy ^^'

*Aaron fut surpris par l'arrivée inopinée d'une autre jeune fille, et passablement offusqué lorsque celle-ci s'adressa à lui sur un ton franchement famillier alors qu'ils ne se connaissaient ni d'Eve ni d'Adam. Elle devait tout ignorer des bonnes manières pour le tutoyer comme ça. . Il serra légèrement les machoires pour dissimuler sa contrariété et força un sourire polit sur ses lèvres. *

Bonjour à vous

*Son sourire disparu dès lors que la jeune fille s'en alla en lui tournat le dos, et ce fut avec une expression froide et sans gentillesse qu'il regarda l'itnruse partir aussi subitement qu'elle était apparue. *

Summers ce promenais dans le parc.Quand elle vue trois jeune gens donc un jeune homme.Elle s'approcha d'eux et vue le garçon.Elle vigea.Elle le trouvait trop mignon.Mais elle avait d.jà un petit ami.

Summers--)Coucou vous.

* C'est avec une certaine circonspection qu'Aaron considéra la nouvelle arrivante. Il la dévisagea de la tête au pied sans perdre son air froid, puis détourna le regard pour réajuster son costume neuf et s'exprima d'un ton neutre qui n'invitait pas à la conversation.*

Bonjour Mademoiselle.

Summers le dévisagea.
Summers--)Tu as un problème de me dévisagé toi?
Dit-elle en fessant crauqer c'est chointure.

hj: ce topic était pas privé mais c'est pas une raison pour venir me couper l'herbe sous le pied! j'ai même pas pu répondre à son bonjour! j'aurais l'air malpolie moi! Je vais faire comme si vous n'étiez pas intervenues!... Et je vais rendre le topic privé!!

Aaron QuickSilver a écrit:* Il trouva celle qu'il supposa être Gwendolyn Ardwick sur un banc, visibleemn en train de prendre des notes des notes à l'aide d'un outil étrange. Aaron s'éclaircit la gorge pour attirer son attention.*

Mademoiselle Ardwick, je présume ?

_C'est bien moi, mais tu peux m'appeler Gwendolyn. dit-elle avec un sourire timide. Et toi tu dois être Aaron. Enchantée.
Elle se leva pour lui serrer la main et remarqua avec étonnement qu'ils avaient tous les deux la même taille. Elle scruta son visage de ses yeux bleus de nuit aux pupilles cerclées d'or.* Ce garçon a quelque chose de plus que les autres. *

*Aaron resta impassible malgré la façon cavalière dont Gwendolyn étai passé du tutoiement au vouvoiement. Il força un léger sourire sur ses lèvres.*

Enchantée Mademoiselle.

*Il tendit à la jeune fille une main ferme et planta son regard gris acier dans le sien.*

C'est exact. Je suis Aaron QuickSilver.

*Il marqua une courte pause et son regard fut attiré une seconde par un point au de là de Gwendolyn, avant que ses yeux gris aciers ne reviennent vers elle.*

Pardonnez mon ignorance et la brutalité de ma question, mais comment connaissez vous mon nom ?

hj: changement de style.

¤ Il me vouvoie? Mmm, drôle de bonhomme, mais fort intéressant. Vouvoyons-le alors. ¤
_Je me promène souvent près de la salle de répartition. dit-elle d'un ton plus neutre que d'habitude. Faut-il que je vous vouvoie?
Gwen sentait le garçon froid et distant, et elle se demandait s'il ne venait pas d'une famille de nobles ou quelque chose comme ça.

*Aaron nota un léger changemnt de tôn chez son interlocutrice sans pouvoir en déceler la cause. Même si elle se promenait souvent en salle de répartition, il lui semblait difficile qu'elle est entendu ou découvert son nom là bas. Il ne l'avait après tout pas crier sur les toits. *

Si ça ne vous dérange pas, je preferrerais.

* Il se tût, attedant de voir ou elle voulait en venir.*

_Puisque vous insistez.
Elle eut l'impression de se heurter à un mur de pierre, et quelque part, cela lui faisait mal de voir Aaron se comporter ainsi. Elle plongea son regard dans celui de Aaron comme pour sonder son âme.
¤ Sombre... une enfance pas heureuse du tout... Et comme il a eu une éducation sévère! Je me demande s'il a jamais eu une mère. ¤
_Pouvons-nous au moins faire connaissance?
Une mèche de cheveux noirs de nuits lui tomba devant le visage. Gwendolyn la rejeta aussitôt en arrière d'un geste fébrile quand elle vit qu'elle avait roussi.
¤ Encore! Je hais ces cheveux! ¤

*Aaron supporta avec méfiance le regard inquisiteur de Gwendolyn. Il devait l'intriguer à voir ses yeux tentaient de lire en lui ainsi. Aaron n'avait pas l'habitude et cela le mit un peu mal à l'aise bien qu'il n'en montra rien si ce n'est un durciseemnt de son regard. *

Si ce n'était pas le cas je ne serais pas là.

* L'apparition d'une mêche coloré dans la chevelure de la jeune fille ne lui échappa pas, pas plus que la fébrilité de la main qui la repoussa. Interessant, elle n'était pas plus à l'aise que lui. Il détourna son regard vers ce que Gwendolyn tenait dans les mains et détourna la conversation avec le mêm ton neutre, presque vide. *

Pardonnez ma curiosité, mais *désignant le stylo moldu* voilà un étrange objet que je ne connais point. Pouvez vouis me dire de quoi il s'agit ?

Elle remarqua que le ton de Aaron était neutre, presque vide.
¤ Un automate, il me fait penser à un automate! Mais s'en rend-il compte? ¤
_Ceci est un stylo moldu. Les moldus s'inspirent des plumes pour créer des stylos à plume. Et ils n'ont pas besoin d'encrier, mais de cartouche d'encre.
Elle dévissa son stylo pour lui montrer le petit tube de plastique dans lequel le niveau d'encre était bien visible. Il suffit de remplacer la cartouche lorsque celle-ci est vide. C'est un procédé ingénieux qui permet aux moldus de transporter leurs stylos sans jamais à avoir à s'encombrer d'encrier. Il parait même qu'on peut écrire au plafond avec ce genre de stylo, parce que l'encre se dirigerait toujours vers la plume.
Elle avait dit cela d'une voix normale, moins neutre, plus vivante.
_Y aurait-il autre chose que vous désireriez savoir? C'est avec plaisir que je répondrai à vos questions.
¤ Heureusement que je sais parler comme ça. Ca me demande des efforts, mais au moins je suis polie. ¤

*Aaron ecouta avec interêt ce que disait Gwendolyn.Il haussa un sourcils dasn un semblant d'étonement lorsqu'elle parla des capacités de l'outil. Il n'écrivait jamais au plafond lui même donc l'interet d'une telle performance lui semblait limitée, mais il n'en dit rien, se contenant de hocher la tête. Lorsqu'elle se tut, il la dévisagea un moment, sans rien dire, puis jetta un coup d'oeil sur l'écusson de sa maison : Poufsouffle. Il fronça les sourcils légèrement contrarié et détourna le regard vers l'école au loin.*

Vous semblez passionnée par les moldus et leurs outils, ou bien est ce une erreur de ma part ?

_Et bien, oui et non. Ma mère m'a élevée à la moldue, tout en ne me cachant pas que j'étais une sorcière. Je m'en serais passé, mais c'est ainsi. Mais cela ne vous intéresse sans doute pas.
Elle remarqua le coup d'oeil que Aaron avait jeté à son blason et n'en montra rien. Elle ne fit pas de même, un tel caractère l'avait sans doute directement expédié à Serpentard. Elle se mit le plus qu'elle pouvait à sa hauteur, le regardant comme il la regardait, lui parlant comme il lui parlait, se tenant comme il se tenait, avec des manières qu'elle méprisait un peu, qu'elle traitait de manières de bourge.
Elle fit comme si elle venait d'apercevoir l'écusson.
_Intéressant... Si je puis me permettre de vous donner un conseil, ne vous laissez pas influencer par les gens de votre maison, cela pourait vous mener très loin de votre but premier, vous conduire sur un chemin sans retour.
Elle le regarda dans les yeux de son regard le plus profond et le plus perçant. Si ses yeux avaient pu parler, ils auraient raconter à Aaron toute la crainte qu'avait Gwen de le voir un jour se tourner vers le Mal.
_Mais dites-moi, pour vouvoyer tout le monde de la sorte, vous devez avoir des parents nobles, ai-je raison?
_Me trouvez-vous indigne de parler avec vous? ajouta-t-elle juste après.

*Aaron encaissa sans même sourciller la somme de remarque à la limite du désagréable que Gwendolyn lui fit. A sa question finale il répondit avec calem, sans aucune agressivité.*
La politesse serait-elle à vos yeux l'apanage de la noblesse ?
*Il marqua une courte pause *
Et au vu des apprioris négatifs que vous avais sur les Serpentards et sur mes orgines sociales, je me permet de vous renvoyer aisèment votre dernière question.

Gwendolyn avec calme:
_Jamais je n'ai rencontré de personne aussi poli que vous ne l'êtes, c'est ce qui m'a fait poser cette question stupide. Et non je n'ai pas de préjugés sur les Serpentards, mais je me méfie de certains éléments perturbateurs. Si je vous ai froissé, veuillez m'en excuser.
Elle reprit son souffle.
_Et pour finir, je n'ai aucune raison de penser que vous êtes indignes de m'adresser la parole. Mais si je vous révélais que mon père est Moldu, comment prendriez-vous cela?
Elle ne jouait plus aucune comédie, elle n'imitait plus rien du tout, elle s'était contenté de répondre franchement. Et d'être elle même.
¤ J'ai appris un mot aujourd'hui: apagne ¤
Elle s'empresse de noter le mot sur une page de son cahier. Puis elle se tourna vers Aaron.
¤ Que faut-il que je fasse? Mais... comment je pense? Je vais me faire peur là! ¤
Une autre mèche rousse tomba sur son visage. Elle ne la repoussa pas, elle attendait la réaction de Aaron. Elle espérait qu'il accepte ses excuses, mais se doutait qu'elle devrait faire quelque chose pour se faire pardonner.

*Aaron l'écouta sans montrer de réaction, comme si il était une statue de chair, les yeux toujours fixés sur un point éloigné. Les spertentards aveint mauvais presse, mais après tout, le élites attiraient toujours le regard envieux des autres. il émis un léger soupir à sa dernière phrase.*

J'accepte vos excuses. *Son regard revint se poser sur Gwendolyn, et il la fixa droit dans les yeux, et parla sur un ton qui se voulait sincèreeemnt préocupé* Votre père est un moldu ? Vous m'en voyez désolé. Ce ne doit pas être facile de vivre avec ça.

Pendant un bref instant, même pas un dixième de seconde, Gwendolyn avait l'impression d'être un fidèle domestique fasse à son maître. Mais cela passa si vite que seul le fait qu'il accepte ses excuses s'encra dans son esprit.
Elle répondit:
_D'autant plus qu'il est parti sans raison peu après que je ne reçoive ma lettre de Poudlard. Et il a convaincu ma soeur aînée de partir avec lui. Je suppose que c'est lui aussi qui l'a convaincu de ne pas faire d'études à Poudlard.
Elle espérait que cette fois, elle n'allait pas tout gâcher en sortant une question stupide.
¤ Oui, je veux bien dire que c'est ma faute, que je suis maladroite, je me plierai à vos règles du jeu, mais en retour je veux votre sourire le plus sincère. J'irais décrocher la lune, si seulement je pouvais voir un vrai sourire sur ce visage. Aller dans son sens, c'est tellement difficile, ça me coûte. ¤

*Aaron acquiesca gravement et haussa légèrement les épaules.*

Ma foi, c'est fort discourtois de sa part. Il eu du se réjouir de voir sa fille invitée à rejoindre cette école malgré ses origines.
*Il marque une courte pause, observant Gwendolyn avec calme. Cette fille était issu d'une famille en partie moldu. Mais tout dépendai de comment elle considérait son héritage. *
Voilà ce qui arrive avec les mélanges, toujours des problèmes. Enfin, l'essentiel, c'est que vous ayez choisit le bon camp, n'est ce pas ?

_C'est exact. répondit-elle. Il est évident que j'ai bien plus ma place auprès des gens dotés de pouvoirs comme vous et moi, qu'auprès de Moldus qui s'empresseraient de m'offrir à la science s'ils découvraient mes dons.
¤ Finalement, c'est plaisant de parler ainsi... et tiens que voilà donc si ce n'est pas mes mèches que redeviennent noires? ¤
Les cheveux de Gwen reprirent leur teinte noirs de nuit.
¤ Je vais l'inviter au bal un de ces jours, ou plutôt je vais le prier de m'inviter au bal. Et tant pis pour Alf. ¤
Oubliée la "dispute" de tout à l'heure, à présent, Gwen affichait un sourire radieux sur son visage.

Comme si leurs faibles esprits pouvaient un jour saisir une once des sphères ou nous vivons.

*Aaron se détourna, les épaules et le cou toujours droit, sans perdre la jeune fille façe à lui du coin de l'oeil. Elle semblait plus à l'aise maintenant. Et elle ne semblait pas avoir tiquée à l'idée de la supériorité naturel des sorciers sur les moldus. Domage qu'elle est du sang de moldu. Elle semblait assez courtoise.*

Puis je vous demander de remettre cette discussion fort interessante à plus tard ? Je dois malheureseemnt aller mettre mes affaires en place et rencontrer mes compagnons de maison.

_Mais faites donc, je ne vous retiens pas. Ce fut un plaisir de parler avec vous.
Elle souriait, elle s'était finalement prise d'affection pour le beau Aaron.
¤ Lui c'est quelqu'un. Pas comme Alf. ¤

J'espère, mademoiselle, avoir le plaisir de vous revoir cette année. Au revoir.
*Aaron s'inclina courtoisement, puis s'en alla d'un pas vif, sans se retourner, une expression parfaitement illisible sur le visage.*