Sous un saule pleureur

John marcha dans le parc tranquillement, j'usqu'a un sol pleureur en bordure du lac, un arbre qu'il affectionnait bien. Ici l'air ambiant était frais, l'eau nous
murmurait ses secrets à l'oreille, l'écorce de l'arbre formait un alcove où l'on pouvait aisément se callé, tout était sujet au repos et à la poésie. Il déposa son sac à ses côtés, en sorti plume, encre et parchemin, prit sa baguette en main et murmura en pointant son parchemin "duropiuma". Maintenant où il posait sa plume, le parchemin devenait dur comme du bois et il pouvait aisément écrire tout ses maux sur le papier même s'il reposait sur ses genoux plier.

*J'aurais très bien pu écrire en posant mon parchemin sur un livres...*


John chassa cet idée de ses pensées, si le parchemin par malheur se perçait son livre serait tout taché, de plus il affectionnait les moments où il utilisait la magie.

John était très concerner par la jeune fille qui s'était assise sous le même abre que lui. Il la regardait du coin de l'oeil tout en essayant d'écrire. Il ne savait franchement pas comment commencer la conversation, mais si elle n'avais l'air que d'attendre cela.

John ne puvait plus du tout écrire, tout son âme était tourner vers cette fille. Son âme, mais pas ses yeux...il lui jetta alors un rapide coup d'oeil. Elle était...belle. Tout autre qualicatif eu terni sa beauté tant celle-ci était inexplicable, inextricable. Là où le parfait régnai un élément vint emplir le parfait de perfection, cette élément, sa maison. Une serdaigle, il était aux anges. En fait il avait hais sa maison dès qu'elle lui avait été déclaré, il n'en était pas fière. Il aurait adoré être dans les serdaigle (la maison pour laquelle il portait un culte) plutôt que dans les faible poufsouffle, car oui pour lui poufsouffle était sinonyme de faiblesse, de rejet. Il ne trouvait autre nom a cette maison que la maison des gentils-sans-vie-qui-son-tenaces-devant-leurs-efforts-pour-prouver-qu'ils-ne- sont-pas-des-moins-que-rien. Qu'ils ne sont pas "d'autre petit poufsouffle sans envergure". Enfin, trève de lamentation, il devait accepté sa maison, et peut-être un jour trouvera-t-il la beauté de cette maison telle il avit trouver la beaté de cette fille. Enfin, La seule chose qu'il voulait vraiment présentement c'était de lui parler à elle. Il se tourna alors vers elle et la vi détourner le regard rapidement.

- Salut...ça va? Je me nomme John et toi?

Les mots étaits sorti de sa bouche comme un automate éffectue sa tâche, sans conviction ni volonté, mais remplis de précision. Alors que sa volonté brûlait en lui il ne pouvaiit l'exterrioriser, la montrer au monde réel sous la forme de la flamme, non du torrent de feu enfuit en lui. Il ne savait pas pourquoi il avait se sentiment, les habituels papillons de l'amour avaient été brûler par son feu destructeur.Toute fois, le plus difficile était fait, il ne restait plus qu'à attendre...une attente longue et passionné.

HJ: Ha Ha dsl si j'en fait trop, car j'en fait beaucoup trop, mais bon Ha Ha j'aime bien m'amuser avec l'hyperbole et les mots alors.... (même si mon texte reste loins derrière ce que j'aurais aimer qu'il soit...) Et aussi j'espère que mon poste ne révèle pas du feuilleton à l'eau de rose lol.

Mackensie détourna le regard quand il s'était retourné. Elle le regardait quand même, en biais. Il était beau, un sourire gêné se dessinait sur son visage. Il semblait préoccupé, par quelque chose. Peut-être par elle. Ce n'était pas un coup de foudre mais quelque chose de nouveau. Un truc l'attirait vers lui. Elle ne savait quoi. Elle le regardait, maintenant, normalement. Il étaient face à face. Une mèche tombait sur l'oeil gauche de son interlocuteur. Elle avait une envie surprenante de remettre cette mèche à sa place. Elle ne le fit pas, de peur qu'il le prenne mal. Elle comprit qu'il y avait une magie entre ces deux êtres, elle n'osa pas interrompre ce moment intense et très émotif. Elle le regarda encore, pendant quelques instants puis se souvint de sa question.

Je suis Mackensie.

Elle vit son blason : Poufsouffle. C'était la maison dont elle avait le plus de préjugés. Elle ne savait pas si lui se plaisait là bas et s'il allait lui sortir les grandes vantardises qu'une Poufsouffle lui avait sorti. Elle s'en moquait. Elle faisait maintenant abstraction du monde extérieur, de tout ce qui ne pouvait les préoccuper en ce moment.

Je...tu...ça fait longtemps que...tu es à Poudlard?...

Mack hésitait beaucoup en lui parlant. Elle ne savait que dire. Elle aurait aimé continuer à le regarder comme ça, pendant des heures. Se parler en se regardant, droit dans les yeux.

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hj : Pour une fois ça change, parler avec quelqu'un qui écrit des longs posts ! Serais-tu un adepte de l'écriture?

John replaça une mèche rebelles qui reposait sur son oeil gauche, après ce geste, paradoxalement, il s'ébourrifa les cheveux. Il n'amait pas avoir l'air du gars trop soigné. Il se raprrocha de quelque centimètres vers Mackensie, comme le métal se rapproche d'un aimant lointain. Elle avait maintenant un sourire soutenue, rempli d'une exquise chaleur. Il éleva la voix, maintenant avec plus de conviction et d'émotion que sa première tentative, sa voix tremblait légèrement.


-Moi...non pas vraiment, quelques semaines...et toi?

Il la regardait maintenant d'un oeil attentif. Il se demandait comment elle se sentait en sa compagnie.

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HJ: Ouai...plutôt lol et toi?

Mackensie regarda John remettre sa mèche en place puis s'ébouriffer les cheveux. Elle sourit lorsque ses cheveux devinrent en pétard.

* Il est si beau... *

Puis il s'approcha doucement d'elle. Elle le regardait s'approcher, sans rien dire ni rien faire. Puis il s'arrêta à quelques centimètres d'elle. Elle voyait mieux son visage. Il était doux. Elle aurait aimé toucher sa peau. Elle n'osa pas, par pudeur. Elle le regarda, lentement, en visualisant les moindres grains de beauté qui parsemaient sa peau. Puis elle arrêta son regard sur sa bouche qui lui répondait et qui lui renvoyait sa question. Elle remonta alors vers ses yeux et lui sourit.

Je suis là depuis un peu plus d'une semaine...

Elle ne savait plus quoi dire. Mais elle ne voulait pas poser une question "bateau", elle ne voulait pas perdre ses moyens devant lui. En tout cas, elle ne voulait pas que ça se voit. Elle resta là, subjugué par sa beauté et sa présence. Elle attendit que lui daigne dire quelque chose...ou faire quelque chose.

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hj : Oui j'écris depuis peu mais j'adore ! Je m'évade beaucoup ! Mais c'est bizarre, c'est la première fois que j'ai de l'inspiration sur un RPG ! J'en ai que lorsque j'écris "mes histoires".

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edit hj : Avis à tous les perturbateurs ! Si vous osez gâcher ce moment magique, vous le regretterez toute votre vie !

Il regardait ce visage si beaux devant lui. Ce visage silencieux, beau comme un ange, qui étalait ses mille et un secrets à jours, sans paroles inutiles. Ce qui rendait l'action de parler bien futile.
*Belle comme une vélane*
Un long moment ils restèrent à se regarder ce souriant l'un l'autre. Soudain un oiseau chantat ses louanges, au-dessus d'eux, ce qui ramana John à la réalité. Il ne fallait surtout pas la perdre, ne pas perdre son coeur, il fallait la garder l'entretenir même si ce n'est que comme ami. Son visage était à présent pencher vers elle, il parla de nouveaux, d'une voix tel un murmure. Tout en approchant sa main des jambes pliers de son interloqutrice.

-Tu crois que c'est possible de déjeuner ensemble?

N'aurait-il pas pu lui révéler sa...passion? Non. C'était bien trop tôt, il fallait attendre, faire germer le bouton de rose de l'amour en elle...et plus profondément en lui. Même si c'était déjà fait,

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HJ: Ouai moi aussi c'est la première fois que j'ai de l'inspiration en rpg. Commencer c'est toujours très facile, mais continuer avec quelqu'un c'est toujours plus dificile alors que la c'est un peu plus facile lol.

Mackensie sentit la main de John sur sa jambe. Elle la regarda longuement puis hésita à l'envoyer balader. Elle ne le fit pas. Sa main ne la dérangeait pas, au contraire. Puis elle le regarda. Il attendait qu'elle lui dise oui. Elle sentait qu'il espérait qu'elle veuille bien être avec lui, même pour un déjeuner. Elle mit sa main sur la sienne qui était posée sur son mollet et s'avanca lentement de lui. Elle ne voulait pas le brusquer, pour éviter qu'il ne recule. Elle le regardait droit dans les yeux en s'avancant.

* Il est si beau... Cet instant est vraiment magique... Sa présence est magique... *

La bouche de Mack était maintenant à quelques centimètres de celle de John. Elle s'avanca encore, en se décalant, vers la droite. Une seconde plus tard, sa bouche déposa un baiser sur la joue de son interlocuteur. Elle resta collée quelques instants. Puis elle se dégagea et Mackensie regarda ce garçon profondément dans les yeux.

Oui, j'aimerais beaucoup.

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hj : Ben moi quand je suis partie, j'ai du mal à m'arrêter... Et puis quand il y a quelqu'un qui suit le mouvement, c'est encore plus facile ! Tu as quel âge?

*Elle aurait pu m'embrasser sur la bouche!*
John était un peu furieux contre lui. Avait-il fait quelque chose de travers? L'aimait-elle vraiment? Il était sur que oui, de plus il se dit que les première fois devait être semblable à cela...pour tout le monde. C'est avec cette pensée, où il trouva un certain réconfort, qu'il penchant sa tête vers l'arrière, comme pour chasser ses pensées et que son visage revint au niveau de la jeune fille, armé d'un délicieux sourire, qu'il pensa être son meilleur. Elle l'avait quand même embrasser sur la joue...un début à tout, et surtout elle avait accepté. C'était le plus important pour lui.


-Alors, on se retrouve demain pour le déjeuner, ici-même, j'aurais fait provision...On faira un magnifique pic-nic.


Dit-il alors que son sourire devenait de plus en plus grand, et qu'il ramassait ses choses. Il attendait, à présent, la réponse de Mackenzie.

HJ: J'ai 14 ans. Et aussi pour l'heure du déjeuner, je risque peut-être d'être en retard, je suis au québec...

Oui, d'accord. Demain midi, ici même, nous deux...

Elle avait répété ça à voix haute pour y croire. Elle voulait tellement le revoir demain, après-demain : tous les jours ! Elle le regarda, lui qui arborait un magnifique sourire pour elle. Sa main était toujours posée sur la jambe de Mack. Il ne la bougeait pas et Mackensie frissonnait sous cette main. Puis il remballa ses affaires. Le sourire de Mack s'effaca. Elle le regarda, comme pour dire "s'il te plait, reste".

Tu...tu pars?

* J'aurais tellement voulu rester encore un peu avec toi. *

Mack pensa alors qu'elle l'avait fait fuir, peut-être trop directe pensait-il quand elle lui avait embrassé la joue. Elle voulait que ce moment dure encore quelques instants. Elle commençait à tomber amoureuse de ce jeune garçon, mais lui? Etait-ce réciproque? Elle le sentait même si elle en doutait un peu. On est jamais sûr de l'amour que ressent quelqu'un pour vous. Elle espérait grandement qu'il reste ou qu'il l'embrasse pour lui promettre quelque chose...

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hj : Moi j'ai presque 16 ans. T'inquiète pas, tu postes quand tu veux, je passe plusieurs fois par jour sur le forum.

-À demain alors.

Et John embrassa mack sur la joue, il retira son visage de quelques centimètre, la regarda, il sourit.

-Désolé je dois vraiment y aller.

Il vit un air de regret chez mack, et à contre coeur il s'éloigna, en direction des dortoirs.

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HJ:Il faut tout de même finir ce poste lol. D'acc ;)

Mackensie le regarda partir, une pointe de regret dans le coeur. Elle aurait aimé qu'il reste mais ce n'était pas grave. Elle mit sa main sur sa joue, comme pour capter le baiser qu'il venait de lui offrir. Elle resta là, par terre quelques instants puis partit.

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hj :