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Et c'est ainsi qu'Amy coula
Invité 02.08.06 15:43
Après avoir expérimenter la haute voltige sur balai volant, la résistance à l'eau de pluie, la perte dans le labyrinthe Poudlardien et la course-poursuite après un immonde suppôt de Satan contenu dans le corps d'un chaton, Amy avait décidé de continuer sur sa lancée. Quelle lancée ? Celle des activitées foireuses. C'était la raison pour laquelle la jeune fille se retrouvait perchée en équilibre, avançant avec précarité sur longue branche d'un arbre, qui surblombait l'eau du lac. Vacillant légèrement, la Poufsouffle était loin de posséder l'aisance d'un funambuliste. Mais que lui importait ce petit détail ? Ce n'était pas si grave de jouer les équilibriste en herbe au-dessus d'une large étendue d'eau.
Nan, nan, après tout que risquait-elle ? Hein ? Hein ? Pas grand chose après tout, le danger était si minime. Bon d'accord, elle pouvait éventuellement se cassr la figure et tomber à l'eau. Et en plus, ne sachant pas nager, il était possible qu'elle noyât. Mais ceci n'était que suppositions, et encore suppositions. Pourquoi envisager une chute, d'abord ? ... ... ... Non, non, ne répondez pas. Je sais pertinement pourquoi : Amy n'était pas douée.
Mais essayez donc de raisonner une jeune fille déterminée comme elle ! Elle avait enfin le pouvoir de faire ce qu'elle voulait. Toutes les choses irresponsables qu'un gosse faisait, elle lui étaient permises. Maman n'était pas là pour surveiller. Maman était à Londres, en train de soigner un patient avec une attention tendre et maternelle. Maman n'allait donc pas débarquer d'une minute à l'autre, à bout de souffle, le teint cramoisi, et vociférant à la petite Poufsouffle de descendre tout de suite sinon elle allait se faire mal ou attraper un rhume à cause du vent qui soufflait à cette altitude.
Et vous ne pouviez pas savoir à quel point cette liberté de mouvement ravissait la demoiselle. Enfin si, vous pouviez le deviner à la vue du grand sourire qui étirait les lèvres de cette dernière. Et puis en entendant son rire léger et joyeux, vous ne pouviez plus douter. Amy s'amusait ! Un pied après l'autre, les bras se balançant incertainement et la petite poussée d'adrénaline faisant battre son coeur, la fillette n'en demandé pas plus pour la satisfaire.
Elle esquissa un pas ou deux. Encore un peu, et elle atteignit le bout de la branche. Fermant à demi les yeux, elle prit une grande inspiration et profita quelques mircro-secondes de la vague brise et des doux rayons de soleil qui caressaient sont visage. Mais la température glacial de cette heure matinale et l'absence de cape sur ses épaules ramenèrent bien vite la Poufsouffle à la réalité : il faisait froid, elle était en bout de branche, il lui fallait faire demi-tour et descendre de son arbre. Avant de s'executer, elle émit tout de même un soupir plein de regret. Bah, elle reviendrait une autre fois... Après tout... Maman n'était pas là. Cette pensée ramenant le sourire à Amy, elle put repartir l'âme apaisée et le coeur léger...
Mais il eut été trop beau de dire qu'elle arrivât sans encombres aucunes à au bas de son arbre. Nous parlons tout de même d'Amy !
D'un mouvement brusque, elle tourna les talons. Mais effectuer ce geste sur une branche instable se révélait être un exercice périlleux. Surtout lorsque l'on était pas douée. Mais étonament, Amy l'effectua à merveille. Oui, oui, elle s'était retournée sans commettre d'erreurs. Néanmoins, ce n'était pas cette magnifique action qui sauverait la jeune fille des difficultés... Car même si, elle avait réussi à faire demi-tour, elle n'était pas au bout de ses épreuves...
D'ailleurs, au même moment où la fillette s'étonnait quelques peu d'avoir réussi à faire volte-face, une des dites épreuves survint. Et poour faire court et conscis, je ne dirais qu'une phrase, une seule : La branche céda.
Amy tomba à l'eau. Ce fut donc la seconde épreuve... La fillette ne savait pas nager. Même à onze ans, elle n'avait pas la moindre notion de natation. Pourquoi ? Maman avait décidé que les piscines et la mer étaient des endroits sales et emplis de microbes en tous genres, proliférant à vitesse grand V. Alors les cours de natations dispensés à l'école primaire avaient tous été donnés, sans qu'Amy n'y mette le doigt de pieds.
Enfin bref, le fait était que la Poufsouffle se retrouvait tombée dans un lac. Sous le coup de la surprise, elle n'esquissa d'abord aucun mouvement. Puis la notion de survie agitant neurones désormais trempés, elle fit avec les bras de grands moulinets et ses jambes effectuèrent d'amples mouvements désordonnés. Tendant le cou pour ne pas que sa tête entre sous l'eau, elle prit néanmoins la tasse. Une fois, puis deux, puis trois, puis quatre. Les minutes s'égrénaient, etAmy avait de plus en plus de mal se maintenir à la surface de l'eau. Sa respiration se faisait haletnante. Son coeur battait la chamade. Ses membres s'enkylosaient... Et ce qui devait arriver arriva...
Et c'est qu'Amy coula...
Nan, nan, après tout que risquait-elle ? Hein ? Hein ? Pas grand chose après tout, le danger était si minime. Bon d'accord, elle pouvait éventuellement se cassr la figure et tomber à l'eau. Et en plus, ne sachant pas nager, il était possible qu'elle noyât. Mais ceci n'était que suppositions, et encore suppositions. Pourquoi envisager une chute, d'abord ? ... ... ... Non, non, ne répondez pas. Je sais pertinement pourquoi : Amy n'était pas douée.
Mais essayez donc de raisonner une jeune fille déterminée comme elle ! Elle avait enfin le pouvoir de faire ce qu'elle voulait. Toutes les choses irresponsables qu'un gosse faisait, elle lui étaient permises. Maman n'était pas là pour surveiller. Maman était à Londres, en train de soigner un patient avec une attention tendre et maternelle. Maman n'allait donc pas débarquer d'une minute à l'autre, à bout de souffle, le teint cramoisi, et vociférant à la petite Poufsouffle de descendre tout de suite sinon elle allait se faire mal ou attraper un rhume à cause du vent qui soufflait à cette altitude.
Et vous ne pouviez pas savoir à quel point cette liberté de mouvement ravissait la demoiselle. Enfin si, vous pouviez le deviner à la vue du grand sourire qui étirait les lèvres de cette dernière. Et puis en entendant son rire léger et joyeux, vous ne pouviez plus douter. Amy s'amusait ! Un pied après l'autre, les bras se balançant incertainement et la petite poussée d'adrénaline faisant battre son coeur, la fillette n'en demandé pas plus pour la satisfaire.
Elle esquissa un pas ou deux. Encore un peu, et elle atteignit le bout de la branche. Fermant à demi les yeux, elle prit une grande inspiration et profita quelques mircro-secondes de la vague brise et des doux rayons de soleil qui caressaient sont visage. Mais la température glacial de cette heure matinale et l'absence de cape sur ses épaules ramenèrent bien vite la Poufsouffle à la réalité : il faisait froid, elle était en bout de branche, il lui fallait faire demi-tour et descendre de son arbre. Avant de s'executer, elle émit tout de même un soupir plein de regret. Bah, elle reviendrait une autre fois... Après tout... Maman n'était pas là. Cette pensée ramenant le sourire à Amy, elle put repartir l'âme apaisée et le coeur léger...
Mais il eut été trop beau de dire qu'elle arrivât sans encombres aucunes à au bas de son arbre. Nous parlons tout de même d'Amy !
D'un mouvement brusque, elle tourna les talons. Mais effectuer ce geste sur une branche instable se révélait être un exercice périlleux. Surtout lorsque l'on était pas douée. Mais étonament, Amy l'effectua à merveille. Oui, oui, elle s'était retournée sans commettre d'erreurs. Néanmoins, ce n'était pas cette magnifique action qui sauverait la jeune fille des difficultés... Car même si, elle avait réussi à faire demi-tour, elle n'était pas au bout de ses épreuves...
D'ailleurs, au même moment où la fillette s'étonnait quelques peu d'avoir réussi à faire volte-face, une des dites épreuves survint. Et poour faire court et conscis, je ne dirais qu'une phrase, une seule : La branche céda.
Amy tomba à l'eau. Ce fut donc la seconde épreuve... La fillette ne savait pas nager. Même à onze ans, elle n'avait pas la moindre notion de natation. Pourquoi ? Maman avait décidé que les piscines et la mer étaient des endroits sales et emplis de microbes en tous genres, proliférant à vitesse grand V. Alors les cours de natations dispensés à l'école primaire avaient tous été donnés, sans qu'Amy n'y mette le doigt de pieds.
Enfin bref, le fait était que la Poufsouffle se retrouvait tombée dans un lac. Sous le coup de la surprise, elle n'esquissa d'abord aucun mouvement. Puis la notion de survie agitant neurones désormais trempés, elle fit avec les bras de grands moulinets et ses jambes effectuèrent d'amples mouvements désordonnés. Tendant le cou pour ne pas que sa tête entre sous l'eau, elle prit néanmoins la tasse. Une fois, puis deux, puis trois, puis quatre. Les minutes s'égrénaient, etAmy avait de plus en plus de mal se maintenir à la surface de l'eau. Sa respiration se faisait haletnante. Son coeur battait la chamade. Ses membres s'enkylosaient... Et ce qui devait arriver arriva...
Et c'est qu'Amy coula...
~Privé~
Invité- Invité
Re: Et c'est ainsi qu'Amy coula
Invité 02.08.06 16:36
Tandis qu'une Poufsouffle inconsciente s'amusait à marcher sur une branche d'arbre, Léo s'observait dans le miroir. Ignorant qu'une jeune fille risquait sa vie, il se demandait si il était bien habillé. Il avait troqué sa robe de sorcier contre un jean délavé et une chemise au premier bouton détaché. Ses cheveux ébourriffés paraissaient avoir reçu un pétard. Le Gryffondor se sentait à présent mieux dans ses baskets qu'avec cette robe beaucoup trop étroite. Il faudrait penser à l'élargir. Il existait certainement un sortilège. Peu importe, pour le moment il était satisfait de sa tenue vestimentaire. Il dégringola les escaliers et traversa la salle commune en souriant à toutes les personnes qu'ils ne conaissaient pas. Il aurait très bien put faire pareil envers les personne qu'il conaissait, mais, il s'avérait qu'étant nouveau il ne conaissait personne. D'un naturel curieux, il avait qu'une seule envie: visiter les moindres recoins de son nouveau logement.
Les couloirs du châteaux étaient beaucoup trop bondés, les Salles de cours pas assez, La Grande Salle trop bruyante, La Bibliothèque trop silencieuse à son goût. Bien qu'il aimait avoir des amis, il n'avait pas envie d'être entouré d'élèves lui demandant son nom et si il avait de la famille à Poudlard. Il voudrait avoir son groupe d'amis et en finir. Le seul lieu qui l'attirait aujourd'hui était le Parc. Il l'avait vu de nuit et avait ressentit une force irrésistible émaner de cet endroit enchanteresque. Ainsi, il désirait encore plus le voir de jour. C'est pour cela qu'il s'engouffra dehors, sentant la brise matinale traverser la chemise légère.
L'herbe perdait peu à peu de sa rosée. Les arbres chantaient une musique douce graçe au vent s'engouffrant dans leurs feuillages. Faisant face au vent doux, les cheveux de Léo donnait encore plus l'impression qu'ils n'avaient pas vu de peigne depuis longtemps (ce qui entre nous, est le cas). Le Gryffondor adoptait toujours une attitude volontairement négligée. Son insigne de travers en disant long du soin qu'il apportait aux choses qui lui plaisait. Emerveillé, le jeune garçon observait avec sa vivacité d'esprit le monde qui l'entourait et remerciait la vie de cet étrange lieu qu'il ne conaissait pas il y a quelques jours. Il s'approcha du lac dont les reflets d'argent le faisait rêvasser. Ses vaguelettes irisés par la brise flouait ses yeux comme dans un miroir en mauvais état.
Il se sentait parfaitement bien, respirant l'air frais et la nouvelle vie qui l'attendait. Il pensa à son meilleur ami et aurait tant voulu partager ces instant de bonheur avec lui. Il aurait tant voulut profiter de cette quiétude, de cet instant délicieux pendant longtemps, n'entendant que le clapotis très fin des vagues et le vent frais s'engouffrer dans ses cheveux. Ce silence reposant ne dura certainement pas longtemps. Léo avait fermé les yeux pour mieux profiter de ce qui s'offrait à lui, mais, il les rouvrit immédiatement lorsqu'il entendit un "crac", puis, "plouf". Il regarda autour de lui et vit alors une fille se déchaîner dans l'eau, une branche près d'elle. Inquiet, la Gryffondor s'aperçut alors qu'elle coulait. Elle se débattait...avant de couler comme une pierre. N'écoutant que son courage(^^) et son désir de sauver les autres, le garçon plongea dans l'eau pour rejoindre ce qui n'était plus qu'un tas de vêtement tombant de l'eau.
Grâçe à ses peu de conaissances en natation, il exerça un crawl peu puissant et arriva là où se trouvait il y a quelques secondes la jeune fille. Il inspira une grosse bouffée d'air et plongea la tête dans l'eau. Les yeux écarquillés, il faisait des bras et des jambes pour rejoindre la jeune fille qui coulait de plus en plus. Enfin, il arriva à l'attraper par la taille. Bien qu'elle soit légère, il dut la remonter à la surface avec difficultés, l'un de ses bras étant occupés à tenir la noyée. Bientôt, il put reresprier et se sentit revivre. Epuisé, il dut rassembler ses dernières forces, pour ramener la jeune fille sur le rivage; à l'aide la branche qui était tombé en même temps qu'elle. Une fois dans l'herbe, il allonge la jeune fille inconsciente et se conçentra pour ne pas s'évanouir. Il ne conaissait rien en médecine et du se fier qu'à lui-même. La respiration de la Poufsouffle (à en juger par son insigne trempée), paraissait précipitée mais régulière. Il croisa les doigts pour que la jeune fille au visage enfantin se réveilla. Personne paraissait en vue pour l'aider...
[Ca ne vaut rien comparé à toi mais j'ai fait de mon mieux...
]
Les couloirs du châteaux étaient beaucoup trop bondés, les Salles de cours pas assez, La Grande Salle trop bruyante, La Bibliothèque trop silencieuse à son goût. Bien qu'il aimait avoir des amis, il n'avait pas envie d'être entouré d'élèves lui demandant son nom et si il avait de la famille à Poudlard. Il voudrait avoir son groupe d'amis et en finir. Le seul lieu qui l'attirait aujourd'hui était le Parc. Il l'avait vu de nuit et avait ressentit une force irrésistible émaner de cet endroit enchanteresque. Ainsi, il désirait encore plus le voir de jour. C'est pour cela qu'il s'engouffra dehors, sentant la brise matinale traverser la chemise légère.
L'herbe perdait peu à peu de sa rosée. Les arbres chantaient une musique douce graçe au vent s'engouffrant dans leurs feuillages. Faisant face au vent doux, les cheveux de Léo donnait encore plus l'impression qu'ils n'avaient pas vu de peigne depuis longtemps (ce qui entre nous, est le cas). Le Gryffondor adoptait toujours une attitude volontairement négligée. Son insigne de travers en disant long du soin qu'il apportait aux choses qui lui plaisait. Emerveillé, le jeune garçon observait avec sa vivacité d'esprit le monde qui l'entourait et remerciait la vie de cet étrange lieu qu'il ne conaissait pas il y a quelques jours. Il s'approcha du lac dont les reflets d'argent le faisait rêvasser. Ses vaguelettes irisés par la brise flouait ses yeux comme dans un miroir en mauvais état.
Il se sentait parfaitement bien, respirant l'air frais et la nouvelle vie qui l'attendait. Il pensa à son meilleur ami et aurait tant voulu partager ces instant de bonheur avec lui. Il aurait tant voulut profiter de cette quiétude, de cet instant délicieux pendant longtemps, n'entendant que le clapotis très fin des vagues et le vent frais s'engouffrer dans ses cheveux. Ce silence reposant ne dura certainement pas longtemps. Léo avait fermé les yeux pour mieux profiter de ce qui s'offrait à lui, mais, il les rouvrit immédiatement lorsqu'il entendit un "crac", puis, "plouf". Il regarda autour de lui et vit alors une fille se déchaîner dans l'eau, une branche près d'elle. Inquiet, la Gryffondor s'aperçut alors qu'elle coulait. Elle se débattait...avant de couler comme une pierre. N'écoutant que son courage(^^) et son désir de sauver les autres, le garçon plongea dans l'eau pour rejoindre ce qui n'était plus qu'un tas de vêtement tombant de l'eau.
Grâçe à ses peu de conaissances en natation, il exerça un crawl peu puissant et arriva là où se trouvait il y a quelques secondes la jeune fille. Il inspira une grosse bouffée d'air et plongea la tête dans l'eau. Les yeux écarquillés, il faisait des bras et des jambes pour rejoindre la jeune fille qui coulait de plus en plus. Enfin, il arriva à l'attraper par la taille. Bien qu'elle soit légère, il dut la remonter à la surface avec difficultés, l'un de ses bras étant occupés à tenir la noyée. Bientôt, il put reresprier et se sentit revivre. Epuisé, il dut rassembler ses dernières forces, pour ramener la jeune fille sur le rivage; à l'aide la branche qui était tombé en même temps qu'elle. Une fois dans l'herbe, il allonge la jeune fille inconsciente et se conçentra pour ne pas s'évanouir. Il ne conaissait rien en médecine et du se fier qu'à lui-même. La respiration de la Poufsouffle (à en juger par son insigne trempée), paraissait précipitée mais régulière. Il croisa les doigts pour que la jeune fille au visage enfantin se réveilla. Personne paraissait en vue pour l'aider...
[Ca ne vaut rien comparé à toi mais j'ai fait de mon mieux...
]
Invité- Invité
Re: Et c'est ainsi qu'Amy coula
Invité 10.08.06 16:40
Mes chers lecteurs, saviez-vous que toute la gent humaine était partagée en plusieurs catégories, qui elles-même se subdivisaient pour donne d’autres groupes, qui eux se séparaient en divers et différents groupuscules, et qui… Enfin, le système est simple à comprendre. Et parmi toutes ces castes se trouvait le clan des excessifs aux réactions démesurées. Un brin paranoïaque, les individus de cette horde d’exagérateurs avaient une légère tendance à dramatiser qu’il ventât, qu’il plût ou qu’il neigeât. Bien entendu, leurs craintes étaient souvent dépourvues de tout fondement… Mais allons donc, le mystère du genre humain demeurerait longtemps irrésolu.
Bref, après ces vagues notions d’anthropologie, d’apparence totalement inutiles et superflues, il est de mon devoir de vous déclarer qu’Amy faisait partie de la très sélecte guilde ci-dessus citée. Souffle coupé, neurones doucement déconnectés et masse corporelle immergée, il ne lui fallut que quelques micro-secondes pour imaginer le pire. Semi-inconsciente, Amy comprenait la situation dans laquelle elle se perdait. Mais réfléchir à un moyen de s’en sortir relevait de l’impossible. L’eau alourdissait le moindre de ses mouvements. Ses membres étaient engourdis par l’effort. Son cœur battait fort, tellement fort qu’elle en avait mal… Et elle sombrait, s’enfonçant peu à peu dans le lac… Face à tous ces faits, sa nature d’anxieuse excessive n’eut aucun mal à reprendre le dessus.
C’est ainsi que son existence allait prendre fin, finalement ? Pourtant, cela n’avait jamais été prévu au programme de la journée. Ce matin-là, elle s’était levée comme à l’habitude… Sans se dire « Oh, tiens. Je vais me noyer aujourd’hui ! » Et pourquoi diable était-elle sortie ? Et pourquoi se trouvait-elle sur cette branche à ce moment-là ? Et pourquoi… Pourquoi se questionnait-on autant sur les raisons de telles ou telles choses quand on sentait la fin proche ? Pourquoi un ‘pourquoi’ brûlait-il au fer blanc tout notre système nerveux ?… Et…
Amy ferma les yeux. Elle avait dû finalement s’évanouir. Pourtant le fil de ses pensées ne se brisa pas, bien qu’il eût changé depuis peu. L’interrogation avait laissé place aux regrets. Elle se noyait… Pourtant, elle n’avait pas atteint son objectif premier et vital le monde n’était pas adouci. Les rues s’emplissaient chaque jours de nouveaux affreux jojo, en attente de rédemption. Sa promesse se relevait être un échec finalement… Tant de cris, tant de batailles, tant de soucis, pour rien… Ou, plutôt si, pour quelque chose… Pour quelqu’un… Pour…
Soudain, un bras vint agripper la taille frêle de la demoiselle en détresse. Et doucement, elle fut hissée vers la surface. Encore un court laps de temps, sa tête sortit hors de l’eau et le vent froid et matinal vint fouetter son visage… Ce même vent s’insinua à travers la robe d’Amy, trempée jusqu’à la moelle…
Uh ? Il se passait quoi, là ? Il faisait un froid de canard, d’ailleurs ! Avait-elle atteint le fond du lac ? Nan, ça devait pas être comme ça. Et puis, même si de la tête aux pieds, elle était gorgée d’eau, les environs étaient plutôt secs pour un lac ? Et qui avait vu de l‘herbe au fin fond d’un plan d’eau ? Nan, nan… Elle avait atterri sur la terre ferme… Mais comment ?
Lentement mais sûrement, elle souleva une première paupière, puis la seconde. Tout était tellement flou.. Et ses pensées si confuses… Peu à peu, la Poufsouffle distingua un visage penché au-dessus d’elle. Et ne cherchez pas quelles connexions se firent entre ses cellules crises, mais le premier mot qu’elle souffla fut :
« William… »
Elle marqua une pause. Froid. Il faisait fichetrement froid.
« Tu… Tu es là… pour moi… m.. mer… »
Merci…
Froid… Fichetrement froid…
Bref, après ces vagues notions d’anthropologie, d’apparence totalement inutiles et superflues, il est de mon devoir de vous déclarer qu’Amy faisait partie de la très sélecte guilde ci-dessus citée. Souffle coupé, neurones doucement déconnectés et masse corporelle immergée, il ne lui fallut que quelques micro-secondes pour imaginer le pire. Semi-inconsciente, Amy comprenait la situation dans laquelle elle se perdait. Mais réfléchir à un moyen de s’en sortir relevait de l’impossible. L’eau alourdissait le moindre de ses mouvements. Ses membres étaient engourdis par l’effort. Son cœur battait fort, tellement fort qu’elle en avait mal… Et elle sombrait, s’enfonçant peu à peu dans le lac… Face à tous ces faits, sa nature d’anxieuse excessive n’eut aucun mal à reprendre le dessus.
C’est ainsi que son existence allait prendre fin, finalement ? Pourtant, cela n’avait jamais été prévu au programme de la journée. Ce matin-là, elle s’était levée comme à l’habitude… Sans se dire « Oh, tiens. Je vais me noyer aujourd’hui ! » Et pourquoi diable était-elle sortie ? Et pourquoi se trouvait-elle sur cette branche à ce moment-là ? Et pourquoi… Pourquoi se questionnait-on autant sur les raisons de telles ou telles choses quand on sentait la fin proche ? Pourquoi un ‘pourquoi’ brûlait-il au fer blanc tout notre système nerveux ?… Et…
Amy ferma les yeux. Elle avait dû finalement s’évanouir. Pourtant le fil de ses pensées ne se brisa pas, bien qu’il eût changé depuis peu. L’interrogation avait laissé place aux regrets. Elle se noyait… Pourtant, elle n’avait pas atteint son objectif premier et vital le monde n’était pas adouci. Les rues s’emplissaient chaque jours de nouveaux affreux jojo, en attente de rédemption. Sa promesse se relevait être un échec finalement… Tant de cris, tant de batailles, tant de soucis, pour rien… Ou, plutôt si, pour quelque chose… Pour quelqu’un… Pour…
Soudain, un bras vint agripper la taille frêle de la demoiselle en détresse. Et doucement, elle fut hissée vers la surface. Encore un court laps de temps, sa tête sortit hors de l’eau et le vent froid et matinal vint fouetter son visage… Ce même vent s’insinua à travers la robe d’Amy, trempée jusqu’à la moelle…
Uh ? Il se passait quoi, là ? Il faisait un froid de canard, d’ailleurs ! Avait-elle atteint le fond du lac ? Nan, ça devait pas être comme ça. Et puis, même si de la tête aux pieds, elle était gorgée d’eau, les environs étaient plutôt secs pour un lac ? Et qui avait vu de l‘herbe au fin fond d’un plan d’eau ? Nan, nan… Elle avait atterri sur la terre ferme… Mais comment ?
Lentement mais sûrement, elle souleva une première paupière, puis la seconde. Tout était tellement flou.. Et ses pensées si confuses… Peu à peu, la Poufsouffle distingua un visage penché au-dessus d’elle. Et ne cherchez pas quelles connexions se firent entre ses cellules crises, mais le premier mot qu’elle souffla fut :
« William… »
Elle marqua une pause. Froid. Il faisait fichetrement froid.
« Tu… Tu es là… pour moi… m.. mer… »
Merci…
Froid… Fichetrement froid…
*William*
[HJ : Tehehehehehe, voui, voui, tu peux me jeter des pierres… Le post est mou, lent et superficiel… Mais tu me pardonnes, hein ? Voui, c’est bien XD]
Invité- Invité
Re: Et c'est ainsi qu'Amy coula
Invité 25.08.06 22:30
Ah enfiiiin! Le jumencelle en détresse se décida enfin à ouvrir le yeux pour rassurer le pauvre Léo qui commençait à douter de sa survie. Croyez-vous qu'elle allait se jeter au coup de son sauveur et le remercier infiniment? Pas du tout. D'abord elle l'appella William. Le Gryffondor eu un demi-sourire et se demanda qui ça pouvait bien être. Il se passa un main dans ses cheveux mouillés. Arrgh! C'était pas classe du tout d'avoir les cheveux mouillés! Il détèstait ça. Peu importe. Il entendit les dernières paroles d'Amy. Sa conclusion fut prompt et formulée à voix haute:
"-Elle délire"
Il soupira et se demanda quoi faire. Gentiment, il tenta d'expliquer à la jeune fille:
"-Désolé de te déçevoir..Mais je ne suis pas William"
Au fond de lui, il était déçu. Un peu de gratitude et de reconaissance ne lui aurait fait aucun mal.C'est vrai quoi? Il s'était jeté dans l'eau glacial habillé, avait puisé toutes ses forces et-comble du comble-avait mouillé ses cheveux qui se mettait à présent en ordre(ce qu'il détèstait).Et qu'est-ce qu'il avait comme récompense? Un remerciement qui ne lui était pas destiné. Bien entendu, il n'aurait pas non plus la laisser couler et savait qu'il aimait sauver les autres. Il se demanda si il devait lui donner des baffes pour la réveiller. En fin de compte il la frictionna, sentant lui même la fraîcheur matinal traverser ses vêtement mouillés. Il fit de son mieux pour la réchauffer, espérant qu'elle allait être un peu plus conciente.Il eu le temps de l'observer un peu mieux. Si elle ne se trouverait pas dans ce collège il lui aurait à peine donné 11 ans et ressemblait à l'une des poupée de sa petite soeur. Ses cheveux blonds mouillés lui tombait sur tous le visage. Léo sourit en détachant son regard pour le jeter sur le lac. Et dire qu'elle avait faillit se noyer. Il soupira et continua de tenter de la réchauffer, espérant qu'elle s'explique. Il était totalement inquiet mais ne voulait ni la laisser seule,ni risquer de la blesser en la transportant. Elle paraissait trop fragile pour le tenter. Ne la voyant pas réagir il dit d'un ton agaçé:
-Oh! Allô la Lune? Ici le Terre? Vous me reçevez?"
C'est sûr qu'il n'était pas très doux mais il commençait sérieusement à s'inquiéter et se retint de la secouer. Ce n'était pas l'envie qui lui manquait. D'un ton plus calme il redemanda:
"-Tu m'entends?"
"-Elle délire"
Il soupira et se demanda quoi faire. Gentiment, il tenta d'expliquer à la jeune fille:
"-Désolé de te déçevoir..Mais je ne suis pas William"
Au fond de lui, il était déçu. Un peu de gratitude et de reconaissance ne lui aurait fait aucun mal.C'est vrai quoi? Il s'était jeté dans l'eau glacial habillé, avait puisé toutes ses forces et-comble du comble-avait mouillé ses cheveux qui se mettait à présent en ordre(ce qu'il détèstait).Et qu'est-ce qu'il avait comme récompense? Un remerciement qui ne lui était pas destiné. Bien entendu, il n'aurait pas non plus la laisser couler et savait qu'il aimait sauver les autres. Il se demanda si il devait lui donner des baffes pour la réveiller. En fin de compte il la frictionna, sentant lui même la fraîcheur matinal traverser ses vêtement mouillés. Il fit de son mieux pour la réchauffer, espérant qu'elle allait être un peu plus conciente.Il eu le temps de l'observer un peu mieux. Si elle ne se trouverait pas dans ce collège il lui aurait à peine donné 11 ans et ressemblait à l'une des poupée de sa petite soeur. Ses cheveux blonds mouillés lui tombait sur tous le visage. Léo sourit en détachant son regard pour le jeter sur le lac. Et dire qu'elle avait faillit se noyer. Il soupira et continua de tenter de la réchauffer, espérant qu'elle s'explique. Il était totalement inquiet mais ne voulait ni la laisser seule,ni risquer de la blesser en la transportant. Elle paraissait trop fragile pour le tenter. Ne la voyant pas réagir il dit d'un ton agaçé:
-Oh! Allô la Lune? Ici le Terre? Vous me reçevez?"
C'est sûr qu'il n'était pas très doux mais il commençait sérieusement à s'inquiéter et se retint de la secouer. Ce n'était pas l'envie qui lui manquait. D'un ton plus calme il redemanda:
"-Tu m'entends?"
Invité- Invité
Re: Et c'est ainsi qu'Amy coula
Invité 26.08.06 22:04
Amy devait l’avouer, l’état de divagation présentait nombre d’avantages. D’abord, il y avait cette sensation tranquille et apaisante qui transporta la fillette dans les hautes sphères du calme. L’espace de quelques secondes, ses méninges tombaient au point port, les informations se bloquaient entre les neurones et plus une pensée, plus un souci n’était apte à traverser l’esprit déconnecté de la jeune Poufsouffle. Engourdie, embrouillée, embrumée. Amy était simplement loin. Et s’il eut vraiment fallu sonder son système cérébrale de fond en comble, on aurait seulement pu trouver ces quelques birbes de réflexions : William… l’était là. Il l’avait sauvée. Sa promesse, sa mission, ses efforts. Tout volait en éclats. C’était fini… Ils s’étaient retrouvés. Enfin…
« ’Liam, marmonna inconsciemment la demoiselle. »
Oui, définitivement, être dans les vappes, c’était chouette… Mais comme dans toutes bonnes choses, le bas blessait un moment ou à l’autre. Dans le cas présent, la faille résidait à la fin de cet état de béatitude totale. Quand tout autour se faisait moins flou, que l’on percevait la voix agacée qui nous appelait, que l’on retombait sur terre. Une chute de plusieurs mètre eût eu le même effet, sans doute.
Un calme froid régnait… Amy le rompit. Un silence s’était installé… Amy le rompit. Une inquiétude régnait… Amy la rompit. D’un coup sec, la jouvencelle en détresse inspira une longue bouffée d’air. Ses poumons s’emplirent, sa poitrine gonfla. Une fraction de secondes, et le tour fut joué. Enfin, l’oxygène vint réapprovisionner les cellules grises de la fillette. Un long frisson lui parcourut l’échine, et peine s’immobilisa-t-elle que son système nerveux était rebranché. Wah…
Retour à la réalité : elle était trempée jusqu’à la moelle, des mains, par ailleurs inconnues, tentaient vainement de la réchauffer, son corps s’étendait dans l’herbe. D’une impulsion, la Poufsouffle se redressa et se heurta à un buste… Et aussi étonnant que cela puisse paraître, le dit buste était aussi inconnu… Donc le propriétaire de ses différentes parties anatomiques devait être aussi étranger à la demoiselle que l’était le concierge octogénaire et bedonnant de l’immeuble où résidait le petit-neveu par alliance d’Elton John.
« Vous êtes… qui…? Murmura la petite fille, d’une voix tremblotante et très peu rassurée. »
D’une manière plus qu’hésitante, Amy leva son regard bleu vers le visage d’illustre inconnu. … … …
Trop roux, trop grand, trop robuste. Si elle avait eu le moindre dernier et petit doute sur la supposée présence de William, il venait d’être balayé. Car à ce moment où peu de choses étaient claires, elle pouvait cependant affirmer qu’elle ne connaissait pas ce garçon… Alors…
« WAAAAAH ! Z’êtes quiiii ? S’exhorta Amy en repoussant violemment son sauveur. »
Joues pourpres et regard gêné, Amy recula jusqu’à se heurter contre l’arbre le plus proche, ce qui, ici, signifiait, qu’elle demeura à quelques centimètre du rouquin. Pour quelqu’un qui sortait d’un malaise, elle avait vite récupéré… Choc post-traumatique ?
« ’Liam, marmonna inconsciemment la demoiselle. »
Oui, définitivement, être dans les vappes, c’était chouette… Mais comme dans toutes bonnes choses, le bas blessait un moment ou à l’autre. Dans le cas présent, la faille résidait à la fin de cet état de béatitude totale. Quand tout autour se faisait moins flou, que l’on percevait la voix agacée qui nous appelait, que l’on retombait sur terre. Une chute de plusieurs mètre eût eu le même effet, sans doute.
Un calme froid régnait… Amy le rompit. Un silence s’était installé… Amy le rompit. Une inquiétude régnait… Amy la rompit. D’un coup sec, la jouvencelle en détresse inspira une longue bouffée d’air. Ses poumons s’emplirent, sa poitrine gonfla. Une fraction de secondes, et le tour fut joué. Enfin, l’oxygène vint réapprovisionner les cellules grises de la fillette. Un long frisson lui parcourut l’échine, et peine s’immobilisa-t-elle que son système nerveux était rebranché. Wah…
Retour à la réalité : elle était trempée jusqu’à la moelle, des mains, par ailleurs inconnues, tentaient vainement de la réchauffer, son corps s’étendait dans l’herbe. D’une impulsion, la Poufsouffle se redressa et se heurta à un buste… Et aussi étonnant que cela puisse paraître, le dit buste était aussi inconnu… Donc le propriétaire de ses différentes parties anatomiques devait être aussi étranger à la demoiselle que l’était le concierge octogénaire et bedonnant de l’immeuble où résidait le petit-neveu par alliance d’Elton John.
« Vous êtes… qui…? Murmura la petite fille, d’une voix tremblotante et très peu rassurée. »
D’une manière plus qu’hésitante, Amy leva son regard bleu vers le visage d’illustre inconnu. … … …
*C’est pas William…*
Trop roux, trop grand, trop robuste. Si elle avait eu le moindre dernier et petit doute sur la supposée présence de William, il venait d’être balayé. Car à ce moment où peu de choses étaient claires, elle pouvait cependant affirmer qu’elle ne connaissait pas ce garçon… Alors…
« WAAAAAH ! Z’êtes quiiii ? S’exhorta Amy en repoussant violemment son sauveur. »
Joues pourpres et regard gêné, Amy recula jusqu’à se heurter contre l’arbre le plus proche, ce qui, ici, signifiait, qu’elle demeura à quelques centimètre du rouquin. Pour quelqu’un qui sortait d’un malaise, elle avait vite récupéré… Choc post-traumatique ?
Invité- Invité
Re: Et c'est ainsi qu'Amy coula
Invité 27.08.06 11:29
Ah! Enfiiiiin! La jeune fille se mit à tousser, puis, apparement, à devenir un peu plus consciente de la situation dans laquelle elle se trouvait. Léo s'inquiètait réellement et lâcha un soupir de soulagement en voyant la Poufsouffle revenir à elle. Elle se cogna contre lui, totalement désorientée. Perdue, elle interrogea le Gryffondor sur son identité. Lui-même un peu surpris de la façon dont elle avait reprit du poil de la bête, oublia de répondre. Ce qui ne rassura en aucun point la pauvre fille qui recula. Elle le rejeta en arrière tout en reposant sa question. Furieux, il ne fit aucun geste brusque, mais répondit avec un fronçement de sourcil:
"-Oh! On se calme!"
Il n'approcha pas. Très chaleureux le remerciement non? Les bras croisés il regarda la pauvre fille complètement perdue. Il se décida enfin à dire son prénom et son nom, ce qui n'avançerait certainement rien.
"-Léo Smith...J'aimerais être enchanté"
Il fit un sourire de travers. Il ne tenta aucun façon de s'approcher de la Poufsouffle, sachant qu'elle risquait de prendre ses jambes à son cou si il le faisait. D'un ton mi-amusé, mi-brusque, il continua:
"-Et vous?"
Il cachait sa surprise derrière ses tons brusques. Modeste? Peut-être...Il comprenait peu à peu que les remerciements n'étaient pas encore prêts de venir. Un silence s'installa et demanda d'un ton qu'il aurait voulu moins inquiet:
"-Vous allez mieux?Vous avez froid?"
Son visage devanait de plus en plus doux. La Poufsouffle paraissait s'être calmée, mais le regardait bizzarement. Il s'expliqua:
"-Vous étiez à l'eau...Je jugeait bon de vous ramenez sur la terre ferme..."
Il scruta le visage mouillé de la jeune fille pour observer sa réaction.
"-Oh! On se calme!"
Il n'approcha pas. Très chaleureux le remerciement non? Les bras croisés il regarda la pauvre fille complètement perdue. Il se décida enfin à dire son prénom et son nom, ce qui n'avançerait certainement rien.
"-Léo Smith...J'aimerais être enchanté"
Il fit un sourire de travers. Il ne tenta aucun façon de s'approcher de la Poufsouffle, sachant qu'elle risquait de prendre ses jambes à son cou si il le faisait. D'un ton mi-amusé, mi-brusque, il continua:
"-Et vous?"
Il cachait sa surprise derrière ses tons brusques. Modeste? Peut-être...Il comprenait peu à peu que les remerciements n'étaient pas encore prêts de venir. Un silence s'installa et demanda d'un ton qu'il aurait voulu moins inquiet:
"-Vous allez mieux?Vous avez froid?"
Son visage devanait de plus en plus doux. La Poufsouffle paraissait s'être calmée, mais le regardait bizzarement. Il s'expliqua:
"-Vous étiez à l'eau...Je jugeait bon de vous ramenez sur la terre ferme..."
Il scruta le visage mouillé de la jeune fille pour observer sa réaction.
Invité- Invité
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