Matt Kitten [pouff]

Identité :

Nom : Kitten

Prénom : Matt

Date de naissance / Âge : 17 Mai 1995, 11 ans

Lieu de naissance : Chester, Angleterre

Lieu de résidence : Londres

Sexe : Masculin

Physique : Matt est un garçon de taille moyenne (1m52), il est mince, musclé et athlétique pour son jeune âge mais cela doit venir des gènes paternels. Un visage de voyou composé de cheveux mi-longs bruns en bataille, est orné de deux grands saphirs en guise d’yeux. Ceux-ci changent de couleur selon le temps : s’il pleut, ils seront bleus, s’il fait soleil, ils seront violets. Matt porte un béret beige de cheminot et une grande cape de même couleur. Toujours vêtu de vêtements larges, il associe le style classique avec le style skateur, ce qui lui donne un look original ; un style vestimentaire peut-être un peu décalé par rapport à son temps mais qui lui donne cette impression de liberté. Un enfant serré dans ses vêtements et aussi un enfant étouffé par son entourage et sa propre vie... Un détail, sur son apparence, fait beaucoup rire, les gens remarqueraient apparemment que la boucle d'oreille que porte Matt à l'oreille gauche brille autant que ses dents parfaitement alignées, un blanc éclatant mis en valeur par de beaux sourires...Les filles, dit on, tombent raides en le voyant, mais lorsqu’on lui affirme que les gamines le trouvent beau, il rit doucement laissant entendre sa douce voix.

Caractère : Prenons le temps d'analyser l'esprit d'un enfant de dix à onze ans normalement constitué... Il a besoin de ses parents pour l'aider à se construire, les amis et les jeux sont très sollicités, il marque un besoin de s'affirmer au sein d'un groupe et montre parfois des signes de complexe d'Oedipe. Voyez-vous, Matt est pratiquement l'inverse de cette analyse. Rejeté par ses parents, Matt à du se débrouiller sans l'aide de personne pour ne pas se laisser écraser par la société. Les seuls liens affectifs qu'il entretient sont avec son hermine, elle semble être l'unique être qui s'intéresse à ce gamin. Besoin de jeux? Oui bien sûr, il lui en faut pour s'épanouir, mais ces jeux tournent parfois à l'extrême, ils deviennent dangereux ou immorales. Les amis, les groupes, il ne connaît pas. Toujours renfermé sur lui même, ce n'est pas lui qui fait le premier pas vers les étrangers, il s'est toujours laissé effacer, dépasser par les gens ou les événements et malgré la volonté qu'il y met, rien ne change... Il restera à jamais un enfant seul et dénigré, seul, sans ambition. La vie n'est peut-être, en fin de compte, qu'une mauvaise blague pour cet enfant paumé, peut-être qu'il ne devait pas naître au monde... S'il était resté une molécule, un atome, il aurait sans doute mieux vécu sa différence avec les autres, bien que nous ne pensons pas que les atomes ne pensent.... Pour en revenir à ses principaux traits de caractère, Matt est un garçon réservé, intelligent, patient et attentif au moindre détail. Courageux et généreux, il ne peut pas agir sans but précis, s'il doit accomplir une tache importante, c'est pour quelqu'un, pour quelque chose. Matt est timide mais très attachant, ses sourires en font fondre plus d'une et ses regards peuvent en attendrir d'autres... Le définir? C'est une âme paumée dans une enveloppe trop grande, un coeur meurtris dans un monde sans pitié, où le désespoir et la nostalgie se mêlent aux sentiments les plus horribles...

Histoire : Matt naquit un sale après midi de printemps dans un hôpital de Chester. Il pleuvait, aucun oiseau ne chantait, personne ne souriait. Tout le monde avait l’air de regretter cette naissance. L’enfant vint au monde dans une petite pièce blanche. Froide. Comme les gens autour d’ailleurs… Le médecin coupa le cordon ombilical, l’air blasé. La mère ne cessait de répéter qu’il fallait qu’elle retourner travailler et le père bouquinait dans un coin de la salle. On attribua le prénom de Matt à l’enfant car l’arrière grand-père paternel se nommait Matthew. Après quelques jours passés à l’hôpital, les parents emmaillotèrent le nouveau-né dans un linge blanc et l’emmenèrent dans une jolie villa au centre de Londres. Carina, au bout de trois mois, décida d’engager une nurse pour s’occuper de Matt jusqu’à ses six ans, après il se débrouillera se disait-elle… Jours, semaines et mois passèrent dans de grands silences, personne n’adressait la parole à cet enfant, même Lola qui était payée pour. Il avait l’air inintéressant, il jouait seul au fond d’une immense pièce sombre, en fin de compte, il n’avait pas vraiment besoin de quelqu’un pour veiller sur lui… Un matin, Matt cassa un verre en ayant glissé sur le tapis de la cuisine. Le cristal se brisa dans un grand fracas glacial et Pascal vint immédiatement. Le verre en question était un de ceux qu’il avait acheté il y avait de ça huit ans à un artisan, il devait y tenir puisqu’il attrapa Matt par le col et l’enferma au fond d’une armoire. On put alors constater les faits suivants : aucun bruit, aucune plainte ; quelques instants plus tard le son du bois rongé ou creusé se faisait entendre ainsi qu’une respiration accélérée dû à une bouffée d’angoisse l’ayant submergée. Après avoir ouvert la porte du meuble, le père remarqua des dégâts physiques tels que : ongles cassés, extrémités de chaque doigts ensanglantées ; puis, ces dégâts matériels : des traces de griffures ainsi que de profondes crevasses dans le bois. Matt, se révélait claustrophobe et personne ne s’en souciait… Pour ses six ans, l’enfant eut un magnifique cadeau : le départ de sa nurse et le voyage d’une année de sa mère en Russie. Il se retrouvait alors seul dans cette grande maison avec son père qui le dénigrait. De toute façon, avec ou sans parents, cela revenait au même pour ce gosse. Personne ne s’en occupait et les jours se succédaient avec la même lenteur, le même goût, vous savez, ce goût monotone, le goût de la nostalgie qui nous fait parfois pleurer, et bien pour Matt c’était une habitude… Après avoir passé une année en Russie, Carine revint à Londres dans la maison familiale. Elle avait acheté le premier vrai cadeau de son fils : une palette de peinture, des pinceaux et du beau papier Canson. Cet art absorbait complètement le jeune enfant qui ne se décollait plus des couleurs flamboyantes et du papier crème. Il s’était enfin trouvé une passion, passion qui le suivra toute sa vie… Matt fêta ses neuf ans et ses parents commençaient à parler en cachette, ils préparaient quelque chose d’important, des lettres étranges arrivaient tous les deux jours et Carine s’empressait de les lire avant de les confier à Pascal qui y répondait dans les minutes suivantes. Mais leur enfant ne se souciait pas de ce secret, il aimait tellement peindre que plus rien n’existait autour de lui. La vie était vraiment plus belle entre les traits colorés laissés sur le papier. Deux ans plus tard, Carine décida enfin de parler à son fils, elle lui annonça qu’il allait partir dans une grande école magique en Angleterre et qu’il y passerait énormément de temps. Même si cette annonce le laissait rêveur, il était troublé. Personne ne lui avait jamais parlé de magie et encore moins d’école de magie, alors pourquoi ses parents allaient l’envoyer dans un endroit qu’il ne connaissait pas ? Pour se débarrasser de lui sûrement… Enfin, maintenant, peut-être qu’il aura une vraie famille, de vrais amis…

Famille :

Père :

Nom et prénom : Pascal Kitten

Âge actuel : 45 ans

Métier : Médecin

Statut : Moldu

Relations avec le personnage : Que dire sur une relation qui n'en est pas vraiment une? Le père de Matt a toujours considéré son fils comme un obstacle à sa carrière. Il le rejetait, le laissait à l'écart et ne s'intéressé pas à lui... Il en venait au point de l'ignorer, de faire comme s'il n'existait pas. S'il avait put, il s'en aurait débarrassé de ce môme trop encombrant qui ne faisait que de se taire. Ce silence ne faisait qu'attiser la colère de Pascal envers son fils et nourrissait son fantasme, l'envie de lui porter des coups pour qu'il ne puisse plus le fixer avec ses yeux tristes et trop respectueux...

Histoire : Il est né à Portsmouth (Angleterre) en 1961. Bien que ses parents ne soient pas vraiment bourgeois, il vécu bien, dans une belle petite maison près du port de Portsmouth. Ils lui payèrent ses études en médecine, Pascal eut son diplôme et exerça son métier pendant vingt-cinq ans avant de se retirer de l’hôpital pour ne plus que se consacrer aux livres. A cette époque il était déjà marié avec Carine Offire depuis quinze ans et avait décidé que si elle prenait tant à cœur son métier, se serait elle qui ramènerait l’argent au foyer. Depuis, il vit enfermé dans son immense bibliothèque, coupé de tout…

Mère :

Nom et prénom : Carine Offire

Âge actuel : 42 ans

Métier : Profileuse

Statut : Moldu

Relations avec le personnage : Sa profession lui prenant tous son temps, Carine n’a jamais put s’occuper de son enfant. Les enfants des autres étaient bien plus intéressant pour elle et ne voulait pas trop se mouiller avec le sien. Bien sûr elle l’aimait mais son métier passait avant et elle le faisait bien comprendre. Dans la maison familiale, les rapports qu’elle nourrissait avec son fils étaient des « bonjour », « aurevoir », « merci » et la plupart du temps, des silences…

Prélude : Fille de bonne famille, elle put faire de belles et longues études, voyageant un peu partout dans le monde. Elle est la fondatrice de l’ICMAC (International Center for Molested and Abducted Children), Centre international pour enfants victimes de sévices et d’enlèvements. Psychothérapeute et criminologue, elle a suivi de nombreux stages de « profiling », notamment au centre du FBI de Quantico (rendu célèbre par le film Le Silence des agneaux).

Histoire : Carine Offire est profileuse de criminels. Tueurs en série, violeurs et surtout pédophiles, tous ceux que la société condamne sans appel l’intéressent, et ce n’est ni pour les défendre ni pour les absoudre, mais pour comprendre leur psychologie et par conséquent aider à élucider des crimes qui répondent tous à certains rituels. Plus que son diplôme de criminologue, Carine revendique celui qui n’existe pas : victimologue. Car à tout coupable correspond un profil de victime… Van Geloven fut son premier sujet examiné. L’assassin qui poussa le président du tribunal à ordonner le huis clos, par égard pour la sensibilité de l’assistance. Lors de l’affaire Dutroux, elle a établi dans la presse un profil précis du coupable mais personne n’en tint compte. Car c’est aussi le système qu’elle dénonce, ces mécanismes rigides qui freinent les enquêtes ; la formation de la police, trop classique, nombreux enquêteurs considérant qu’un « monstre » doit avoir le physique de l’emploi… Elle continu encore d’exercer son métier mais seulement en Europe, l’Amérique est bien trop vaste et personne ne voudrait d’une anglaise.

Bonjour et bienvenue sur Poudlard interactif.
Une bonne fiche de présentation sans faute d'orthographe ce qui est déja bien. L'histoire est bien éttofée ce qui est parfait.
Seul petit probleme c'est ton avatar qui doit etre la representation de ton personnage donc plus jeune.
Sinon tu es répartie...
Bon séjour dans le monde de la magie...

Merci beaucoup, je vais en trouver un autre.