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Kaythlin L.Syen

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Kaythlin L.Syen Empty Kaythlin L.Syen

Message  Invité 28.10.08 13:58

    Kaythlin Lenna Syen


    01. Identité

    Nom : Syen
    Prénoms : Kaythlin, Lenna
    Surnom : Katy (Ce surnom lui est donné par ses amis.)
    Sexe : Féminin

    Date de naissance : 1997
    Lieu de naissance : Angleterre
    Lieu de résidence : Angleterre.
    Origine : Sa nationalité est Anglaise.
    Ascendance : Elle est Sang-mêlé, sa mère étant sorciére, son pére étant moldu.
    Richesse : Sa famille a un niveau de famille aisé.


    02. Rp

    J'étais une enfant, ce monstre que les adultes fabriquent avec leurs regrets.


    Prélude

    Que l’on ait des pouvoirs ou pas, il faut avouer que les deux mondes sont dévorés du même feu ardent : l’ambition. Celle qui pousse aux vices et aux mensonges, même aux trahisons. De vouloir plus, de toujours avoir envie d’atteindre un niveau supérieur. C’est la raison de l’union des parents de Kaythlin. Ils étaient tous deux d’un niveau social correct, possédaient l’intelligence des plus grands, et avaient en chacun le désir de conquérir, d’assouvir leurs envies. On ne sut pas s’ils s’aimèrent un jour. Ils étaient des partenaires, des alliés de hierarchie, des complices. Mais jamais un signe de tendresse ou d’affection ne fut échangé, si ce n’est pour concevoir deux enfants, une fille et un garçon, à qui ils transmettront leurs héritages et le travail de leurs vies.

    Il y eut un moment de crise dans cette relation. Quand Adam Syen, après avoir donné son nom à Alyssa, apprit qu’elle était une sorciére, qu’il y avait un monde de sorcier. Mais bien vite, il reprit pied, quand il sut qu’elle avait une place tout à fait honnorable au ministére de la magie, qui lui garantissait une place de pouvoir. Ainsi, ils avaient une influence universelle. Ils ne souhaitaient pas conquérir le monde, et n’avaient pas de mœurs sombres. Ils voulaient juste du pouvoir, se sentir important, et être reconnus par leur entourage. Ils avaient une belle maison, toujours propre, grâce à l’elfe de maison. Elle était décorée avec goût et rafinnement. Ils élevèrent leurs petits, Kaythlin et Nathan.

    Dans cette vie parfaite, laborieuse et luxieuse, un cruel manque. Un manque d’amour, de spontanéité, de sentiments. Une manque de sourires, d’attentions. Des larmes qui séchaient seules, des nuits à se demander quand ils reviendraient de voyage. Une envie de courrir dans les couloirs, de jouer avec ses poupées au lieu de les regarder dans une vitrine. Une envie de casser cette illusion, de vivre réellement, de laisser son cœur s’exprimer. En auront-ils un jour l’occasion ?

    Ils n'y eurent aucune manifestation magique. Les deux enfants étaient-ils cracmols ? Peut-être fusse un heureux concourt de circonstance ? Les deux enfants étaient réduits au silence, à la soumission, jusqu’à l’âge de leur huit ans. Huit ans, l’âge de raison. Ou la prise de conscience ?

    J’étais comme l’enfant avide de spectacle, haissant le rideau comme on hait un obstacle.

    Kaitlyn se rendait bien compte qu’on la privait de sa jeunesse. Une maturité précoce, dû à l’éducation de ses parents, qui entreprenait de la socialiser dés son plus jeune âge, en faisant une îcone de politesse, de grâce et de bonnes maniéres. Elle devait se taire le plus souvent. On croirait que le silence est l’absence de réparti, alors qu’il est l’atout des plus grands génies. En apparence, elle était une petite fille sage et douce. Mais ce n’était qu’une apparence. La petite fille eut dix ans. Un grand pas. Son caractére se forgeait de plus en plus. Il craquelait sa carapace, il faisait glisser son masque. Bientôt, elle deviendrait celle qu’elle devrait être, elle ne cacherait plus la vérité. Chassez le naturel, et il revient au galop. 

    Pendant les grandes vacances, la jeune fille partit chez ses grands parents maternels. C’est d’ailleurs chez eux qu’elle les eut, ses dix ans. Son frére était encore à son pensionnat, elle était seule, soufflant tristement sur sa bougie d’anniversaire, tandis que ses grands parents dormaient à coté. Un claquement se fit entendre. Insistant, de plus en plus furieux. Comme si on tapait contre une vitre. La petite fille se leva, et contourna la table pour rejoindre la cuisine, d’où provenait les bruits étranges. Au lieu d’un hibou, comme l’envoyer d’habitude son frére avec la carte et le cadeau de son anniversaire, elle découvrit un majestueux aigle, fier, mais encore jeune. Il portait une lettre encerclé à sa patte. Un sourire enfantin parcourant son visage, elle ouvrit la fenêtre, et l’oiseau s’engouffra à l’intérieur. Elle prit la lettre, où elle reconnut l’écriture caractéritique de son frére.


    « Nous sommes de ceux qui aiment la vie, nous sommes de ceux qui la savourent à chaque instant, vivant étrangement et dangereusement, appréciant les folies et les coups d’éclats, désapprouvant la lamentation et l’échec. On vit d’espoir, on vit d’amitié et d’amour, on vit dans le joie du lendemain et pas la tristesse de la veille. Nous sommes de ceux qui avançent sans regarder derriére, nous sommes de ceux qui sont impulsifs, qui vivent au jour le jour, appréciant la beauté d’un coquelicot, ou la verdue d’une prarie. Nous sommes de ceux qui vivent. Echappe toi de ton mirage, à l‘instar de cet oiseau. Je t‘aime Kaythlin. Bon anniversaire. »

    Tout enfant, j'ai senti dans mon cœur deux sentiments contradictoires : l'horreur de la vie et l'extase de la vie.

    Quand il la rejoint le jeune homme lui apprit à jouer de la musique. De la guitare. Il lui apprit les accords, les plus belles mélodies. Un moyen d’exprimer ces émotions, ces sentiments. Le ton, le rythme, les différentes cordes. Elle apprit rapidement, fasciné par les mélodies, de mettre une musique pour jouer la solitude de son cœur. Une musicienne hors pair, héritage de l’apprentissage de son frére, qui fit office de pére et de mére durant son enfance. Aprés ces moments là, Nathan la prenait dans les bras, et la gardait contre son cœur. Elle, elle était rassuré d’entre que quelqu’un dans cette famille en avait un.

    Il suffit d'un geste pour basculer l'histoire, il suffit d'un sourire pour faire basculer un coeur.




    « C’était à l’une de ses soirées mondaines. Une de ces fêtes habituelles, où le punch coulait à volonté, où les invités snobs et hypocrites ventaient leurs richesses et leurs travails. Kaythlin et Nathan faisaient poliment la discussion. Impeccables dans leurs vêtements de prix. Kaythlin s'observa dans le reflet de la glace. Ses longs cheveux chatains foncés étaient lachés et tombaient en cascade sur ses épaules. Ses yeux bleus expressifs lui rendirent son regard inquisiteur. On dit souvent que les yeux sont un livre ouvert sur l'âme. Les siens étaient signes de sa détresse. Sa petite taille lui conférait un air fragile et délicat.

    Soudain, les yeux de Kaytlin furent attirés par un garçon un peu plus vieux qu’elle qui lui souriait à l’autre bout de la piéce. Kaythlin arqua les sourcils, et l’interrogea du regard, ce à quoi il répondit avec un clin’œil. Il lui fit signe de le suivre, quelque chose de dissimulé dans sa petite veste de costard . Puis, il disparut derriére la porte du fond.

    Curieuse, Kaythlin traversa la foule, et arriva à la porte, qui donnait dans le jardin. Elle referma doucement la porte derriére elle, la musique de la salle devenant un lointain murmure au fur et à mesure qu’elle s’en éloignait, les conversations étant semblables à un bourdonemment. Le silence enveloppait les buissons et les talus. Elle s’avança à petit pas hésitant. Elle ne distinguait rien d’autres que de vagues contours, qui pouvaient être autant des ombres que des personnes.

    « Bouh. »

    Un souffle chaud à son oreille la fit sursauter. Elle se retourna, et se retrouva face à face à l’inconnu, dont les yeux malicieux la dévisageaient. Son visage semblait continuellement amusé. Son cœur fit un petit bond dans sa poitrine, pour la premiére fois de sa vie. Ignorante, elle mettait ça sur le compte du sursaut.

    « Qui es-tù ? Pourquoi as-tu voulu que je te suives ? Et quel âge as -tu ?
    -Tu poses beaucoup trop de questions Kaythlin. Champagne ? »

    Dans sa main, une bouteille d’alcool. Sur ses lévres, un sourire provocateur. Il semblait avoir un ou deux ans de plus qu’elle. Même si son costume était splendide, il ne paraissait pas avoir sa place dans cette fête où ils semblaient tous froids et distants. Lui semblait … vivant. Il était pétillant, fougueux. Elle n’avait jamais rencontré quelqu’un qui avait autant de charisme. La terre était son terrain de jeu, et il l’invitait à être sa partenaire.

    « Ah moins bien sûr que le courage t’en manque. Les filles sont moins audacieuses que les garçons, idée connue.
    -Envoie la bouteille. Et je ne releverais pas ta remarque sexiste. »

    Piquée au vif, elle lui saisit la bouteille avec un regard plein de défi. Ca allait être sa premiére cuite, et lui son premier amour. Mais hors de question de le lui avouer. Avec assurance, elle y porta les lévres, et descendit à une vitesse impressionante une bonne quantité de boisson, en essayant de ne pas préter attention à son envie pressante de l‘envoyer par terre. Puis, elle la lui rendit. Aussitôt, la tête lui tourna, et elle s’aggripa à lui pour ne pas tomber. Ce gout étranger et délicieux dans sa bouche la marquait d’une grande décharge d’adrénaline.

    « Waouw, quelle descente ma belle ! Souffla-t-il impressioné en la soutenant.
    -A ton tour ! »

    A son tour, l‘inconnu siffla une bonne partie de la bouteille. Tous les deux étaient maintenant complétement saoul, et ils se finirent le reste du breuvage. Jamais elle ne s’était sentie aussi … légére et libérée. Elle avait l’impression de flotter, que le monde était lointain. Les bruits extérieurs semblaient tellement insignifiants. La seule chose dont elle avait confiance, c’était du garçon, Elias, assit en face d’elle, et sa main dans la sienne. Jamais le monde ne lui avait paru si clair. Elle se sentait enlevée d’un poids qui l’avait toujours écrasé, et qui venait de s’oter.

    « Kaythlin, où es-tu ma chérie ? »

    Une voix déformée, de sa mére semblait-il l’appella. Elle se releva péniblement à la suite d’Elias et tous deux, titubants, se dirigèrent vers la grande salle. Un grand silence suivit leur entrée. Deux gamins ivres, s’etreignant à moitié, dont l’un des enfants était la fille d’une femme respectée et admirée de tous, et qui plus est, l’hôte de la soirée. Celle-ci était d’ailleurs dans une fureur noire. Non pas qu’elle s’inquiétait pour sa fille. Mais de ce que son image allait ressentir de ce drame. Le meilleur moyen de s’en sortir était d’accuser le garçon de l’avoir obligé.

    « Kaythlin ! Mon dieu, qu’as-tu fait ? C’Est-ce jeune homme qui t’as fait boire ? Viens ma chérie, monte dans ta chambre te reposer et te désaouler.
    -Non. »

    Le refus résonna dans la salle. La voix de Kaythlin était claire, plus claire qu’elle ne l’avait été. Elle ne semblait plus saoule. Elle semblait maitresse de ses mots.

    « -Qu’as-tu dit ? Viens ici !
    -J’ai dit non. J’en est plus qu’assez d’être une petite fille sage. Je ne suis pas une figurine de soirée, mais une petite fille avec un cœur et des sentiments. Je voudrais un peu d’amour, l’amour que tu m’as jamais donné. »

    Des murmures emplirent la salle tels des bourdonnements. Sa mére ne contenait plus sa fureur face à cette humiliation publique. Elle se leva, prit violemment la main de Kaythlin, et commença à la tirer vers l’escalier.

    « -Tu vas me suivre, et cessez de faire tes caprices.
    -NON. »

    A la suite de ce mot, sa mére fut brusquement soulevé par une force invisible, et projeté contre le mur. La petite fille plaqua sa main contre sa bouche, horrifiée. Dans un bruissement d’ailes, un hibou se posa devant elle. Il contenait une lettre. Une lettre de Poudlard. »


    Le masque a craquelé. L'apparence n'est plus qu'une envellope charnelle.
    Je m'appelle Kaytlin Syen.
    Et je viens de naître.
    .



Dernière édition par Kaythlin Syen le 28.10.08 16:54, édité 3 fois

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Message  Invité 28.10.08 16:48

    04. Hors-jeu

    Prénom, pseudo, sexe : Sexe Feminin.
    Comment avez-vous connu le forum ? Par un top site des meilleurs RP.
    À propos du forum : Une appréciation : un magnifique forum au design splendide et au contexte très soigné.
    Présence sur le forum/Niveau de Rp : Ce sera très variable, pouvant aller de 3/7 à 5/7. Mon niveau de Rp, sur une note de 10 peut être équivalent de mon point de vue vers 6.
    Avez-vous lu le règlement ? Code validé by l'Arty*.

    Note : Pour la description de la famille, est-ce correct si je l'ai incorporé dans mon Rp ?

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Message  Artemis Lone 28.10.08 16:57

Rien à dire sur ta fiche, aucun problème pour la famille. J'hésite juste sur la maison ... En ayant quand même une furieuse envie de t'envoyer à Gryffondor. Tu as une préférence ou une idée particulière ?
Artemis Lone
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Message  Invité 28.10.08 17:03

Ma préférence est pour Serdaigle, mais je suis tout à fait partante pour Gryffondor si tu veux m'y envoyer. Kaythlin L.Syen 4

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Message  Artemis Lone 28.10.08 17:05

D'autant plus qu'on a énormément de serdaigles ces derniers temps xD

GRYFFONDOR !


N'hésite pas à aller participer à l'intrigue général et à aller donner ton code, tu trouveras plus de renseignements dans le topic en question. Amuse-toi bien ! =D
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Message  Invité 28.10.08 17:06

J'y vais de ce pas, Merci beaucoup !

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